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Qui a tué les intellectuels Algériens et quand est ce que ils seront jugés ??

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  • #16
    Lorsque des terroristes tuent et revendiquent leur assassinat, (et quelque fois arrêté avouent leur assassinats) il s'en trouvent toujours de plus intelligent qui pensent que ceux qui revendiquent et avouent leur méfaits ne sont pas forcément ceux les auteurs de la barbarie.

    Classique !

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    • #17
      Lorsque des terroristes tuent et revendiquent leur assassinat, (et quelque fois arrêté avouent leur assassinats) il s'en trouvent toujours de plus intelligent qui pensent que ceux qui revendiquent et avouent leur méfaits ne sont pas forcément ceux les auteurs de la barbarie.

      Je ne sais pas si je dois rire ou pleurer. Ma chère, je ne pense pas qu'il soit aussi difficile pour un pervers et serpent comme Toufik d'effacer ses traces et même faire exécuter ses crimes par des intégristes barbus, ou encore arracher un aveux d'un innocent sous la torture. On se croirait dans un monde parfait on vous lisant.

      Faut-il encore que je reprenne les dires du grand homme si fin Said Mekbel :" J'ai l'impression qu'il y a quelqu'un, qu'il y a une personne qui connait bien...qui connaissait bien Lyabès, Flici, Tahar Djaout, Senhadri, Boucebci, tout le monde. Qui devait bien connaître le destin de ces gens-là et qui a bien choisi ses victimes. C'est un choix très réfléchi et qui répond peut-être en plus à un besoin psychique pour cette personne. Il y a un cerveau quelque part qui choisit. Peut-être que les exécutants, ceux qui tuent, sont recrutés parmi les petits tueurs islamistes, chez les intégristes. Mais moi, je pense qu'en haut il y a des gens qui choisissent. Ces choix sont faits très froidement, c'est mon sentiment."

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      • #18
        Je ne sais pas si je dois rire ou pleurer. Ma chère, je ne pense pas qu'il soit aussi difficile pour un pervers et serpent comme Toufik d'effacer ses traces et même faire exécuter ses crimes par des intégristes barbus, ou encore arracher un aveux d'un innocent sous la torture. On se croirait dans un monde parfait on vous lisant.
        C'est ce que je disais :" Il s'en trouve toujours de bien plus intelligent que les autres"

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        • #19
          C'est ce que je disais :" Il s'en trouve toujours de bien plus intelligent que les autres"

          Et vous vous êtes certainement plus intelligente que les autres pour savoir que c'est vrai.

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          • #20
            Qui a tué les intellectuels Algériens ??
            En plus du témoignage posthume de feu Saïd Mekbel, lire également le dossier du MAOL "L'Hécatombe et la Presse ou les démons du mensonge".
            Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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            • #21
              Et vous vous êtes certainement plus intelligente que les autres pour savoir que c'est vrai.
              Du tout.

              Lorsqu'un terroriste tue et revendique sur tous ses médias qu'il est l'auteur de l'assassinat, mon cerveau est (comme dirait Hollande trop) normal pour échafauder de "fumeuses" théories.

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              • #22
                Vous nous faites sortir le blablabla du Qui tue qui ................Et bien trop tard ça ne se vend plus ya d;autres business ...
                Les algeriens ,il vaut mieux etre avec eux que contre eux. Lucky Luciano

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                • #23
                  Lorsqu'un terroriste tue et revendique sur tous ses médias qu'il est l'auteur de l'assassinat, mon cerveau est (comme dirait Hollande trop) normal pour échafauder de "fumeuses" théories.

                  En tous cas, t'as même pas besoin d'échafauder de "fumeuses" théories car avec un tel esprit on mérite plutôt une médaille des mains même de ceux qui sont accusés.

                  En plus du témoignage posthume de feu Saïd Mekbel, lire également le dossier du MAOL "L'Hécatombe et la Presse ou les démons du mensonge".

                  Merci Fortuna pour le lien. Il parait très renseigné le document.

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                  • #24
                    @ Limier , Bonjour
                    "si on me tue ,c'est parce que je suis le seul responsable d'un journal qui n'a jamais travaillé pour le régime" Said Mekbel qui n'a jamais eu de symphatie pour les islamistes ,Allah yerahmou

                    Cela devrait etre sffisant pour comprendre, mais ,il ne faut pas oublier le travail psychologique et le matraquage médiatique d'une presse obéissant aux ordres reçus ,qui ont fait leurs effets de formatage, sur les ados des années 90 (actuel:les environs 40 et <) qui avalaient toutes les couleuvres à cet age.

                    En plus des indigents mentaux ,il y a aussi des gens qui sont allergiques à LA Verité ,parce qu'ils étaient partie-prenante active dans la decennie rouge, donc,ils ont interets à maintenir leur version.
                    Ce n’est pas parce qu’on a des idées fondées sur la religion qu’on est terroriste, et ce n’est pas parce qu’on se prétend moderniste ou démocrate qu’on ne l’est pas. Mahiou FFS assassiné le 4/11/1994

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                    • #25
                      Bonjour khaly,

                      En plus des indigents mentaux ,il y a aussi des gens qui sont allergiques à LA Verité ,parce qu'ils étaient partie-prenante active dans la decennie rouge, donc,ils ont interets à maintenir leur version.

                      Mais heureusement qu'ils éxistait des hommes comme Mekbel, Allah irahmou, qui n'ont pas accepté de manger dans le râtelier du système. Il était l'un des rares à ne pas répondre aux sirènes des amazones. Le FIS ne l'a pas détourné de la vérité selon laquelle la vipère est toujours là et qu'il fallait lui couper la tête.

                      Monika Bergmann :Pourquoi as-tu dit que tu es plus menacé par le pouvoir que par le FIS ? Tu as dit, si je meurs, ce n'est pas à cause du FIS mais à cause du pouvoir. Pourquoi ?

                      Said Mekbel :Je pense que, malgré moi, je suis un allié du FIS. Pourquoi ? Parce que le FIS et moi, nous sommes d'accord sur une chose. Nous avions un million de choses qui nous séparent et il y en a une qui nous réunit. C'est que je suis convaincu qu'il faut absolument que ce régime tombe pour sauver ce pays. C'est un régime qui est corrompu. Il faut absolument qu'il disparaisse. Et c'est ce que pense le FIS.
                      Tous mes écrits reflètent mon opposition au pouvoir. Depuis 1988, j'étais contre le pouvoir sauf à un moment donné quand il y a eu Boudiaf.

                      Durant cinq mois, j'étais contre lui parce que j'étais persuadé que lui aussi allait continuer dans la voie tracé par le régime. Mais le dernier mois, je me suis rendu compte que je me trompais. Donc j'ai changé. Mais si l'on excepte ce mois, j'ai toujours été contre le pouvoir en place. Toujours, toujours...je ne l'ai jamais soutenu. Les gens du FIS se sont rendu compte que je me battais, moi aussi, contre le pouvoir. J'ai beaucoup de lettre qui me disent : « Bien!Bravo!Petit courageux!Et nous prions Dieu que tu rejoigne nos rangs ».
                      Je représente un danger pour ce pouvoir bien malgré moi. C'est un rôle que je ne voulais pas du tout jouer. J'étais loin, très loin, de soupçonner qu'un jour je pourrais être quelqu'un à qui on téléphone pour demander conseil, pour demander une interview, etc. Je rêvais d'écrire des petits choses gentils, qui font rire les gens. Et je suis devenu un porte-parole, maintenant. Un porte-parole qui peut dire : « Moi, pendant 20 ans, je n'ai pas mangé votre soupe. »
                      Alors, si demain, par exemple, j'écris qu'il faut soutenir Sadi, tous les lecteurs, beaucoup de citoyens suivront mon opinion. C'est ce rôle de porte-parole que le pouvoir ne veut pas. J'ai eu des offres pour avoir des réponsabilités très, très importantes. Et puis Parallèlement, on a mené des enquêtes sur ma vie privée, pour savoir qui je fréquente, comment je vis, si je suis riche, si j'ai des maisons ailleurs...etc. Et puis, apparemment, ils n'ont rien trouvé. Et je représente pour eux, quelque chose de gênant. Ils savent très bien que si demain je prends parti pour quelqu'un, ce sera décisif. Si demain je dis qu'il faut soutenir Sadi, beaucoup de monde soutiendra Sadi. Beaucoup. C'est ce personnage qui les gênent un peu. Et puis, je suis l'un des rares qui est resté ici.
                      Dernière modification par limier, 28 février 2012, 17h41.

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                      • #26
                        A la base le cerveau algérien a était tué par le régime en place avant d'étré achever par les térroristes de madani et de belhadj.
                        Éclairer les nations encore obscures.

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                        • #27
                          Tahar Djaout, journaliste et écrivain, victime d’un attentat le 26 mai 1993 près de son domicile dans la banlieue ouest d’Alger, succombera quelques jours plus tard à ses blessures. Le 30 mai, l’ agence de presse française, citant une source sécuritaire annonçait que deux des auteurs de l’assassinat de ce journaliste avaient été abattus. Le 1er juin, un citoyen, Abdallah Belabassi, faisait des «aveux » à la télévision, affirmant être le conducteur du véhicule des assassins du journaliste et que le meurtre avait été commandité par un certain Layada. Quatre groupes de citoyens se retrouveront devant la justice, accusés d’être responsables de l’attentat. Layada, «émir » du «GIA » et présenté par certains titres de presse et par le malheureux Belabassi lors de ses «aveux » télévisés comme étant le commanditaire du meurtre sera acquitté par le tribunal d’exception d’Alger dans cette affaire. Les amis du journaliste créeront un comité pour la vérité sur sa mort. Deux membres de ce comité (Boucebci et Mekbel) seront à leur tour assassinés quelque temps après. Son ami, Arezki Aït Larbi, journaliste, écrira à ce propos : « Malgré toutes ces manœuvres, il reste toutefois une certitude : huit ans après, l'assassinat de Tahar Djaout, comme tant d'autres, restera une énigme ». (18). Beaucoup d’observateurs continueront là aussi à s’interroger sur les commanditaires de ce meurtre (19).

                          Youcef Fethallah, juriste et président de la ligue algérienne des droits de l’homme (LADH), tué le 18 juin 1994 devant la porte de son cabinet professionnel, à la rue Larbi Ben M’hidi (Alger). Ses amis nous apprendront que cet humaniste venait de revenir de Berlin où il avait assisté à une conférence organisée par Amnesty International. Il avait très tôt dénoncé la répression qui s’était abattue sur les jeunes citoyens et l’ouverture des camps de concentration. Le 8 mai 1994, il participait à Alger, à la marche nationale pour le dialogue et la réconciliation nationale, ce qui lui valut des attaques virulentes de la part de la minorité éradicatrice et de sa presse attitrée. il était Membre de la commission d'enquête sur l’assassinat de Mohamed Boudiaf.,

                          Abdelkader Hachani, ingénieur en pétrochimie, membre de la direction politique du Front Islamique du Salut (parti dissous), incarcéré durant cinq ans et demi au bagne de Serkadji (1992 – 1997) pour avoir appelé le pouvoir en place à respecter le choix du peuple souverain. Mis sous filature serrée par la police politique depuis sa libération, il sera froidement exécuté le 22 novembre 1999 par un homme armé dans un cabinet dentaire où il se soignait. L’auteur présumé du crime, membre du «GIA » selon la version officielle, sera rapidement arrêté, quelques jours après le forfait, se promenant à Alger, selon la presse avec l’arme du crime et….les papiers de la victime ( ! ! ?). La famille du défunt dénoncera la parodie de procès où persisteront de larges zones d’ombre.

                          Embarek Mahiout, économiste, militant des droits de l’homme et membre (trésorier) de la direction du Front des Forces Socialistes, tué ainsi que son neveu le 4 novembre 1995, à Kouba (Alger) à quelques jours des «élections » présidentielles, mascarade électorale à laquelle le FFS et d’autres partis politiques appelaient au boycott. Cet universitaire, était connu pour son infatigable combat pour les droits de la personne humaine et la démocratie. Là aussi, officiellement, le «GIA » était responsable de ce crime.

                          · Ahmed Hambli, professeur à la faculté de droit de l'université de Tizi Ouzou est tué par balles le 2 octobre 1993 à l’entrée de l'université par des hommes armés qui réussiront à prendre la fuite. Ses proches amis accuseront l'OJAL de son assassinat.

                          Necib Mohamed Arezki, maître de conférences à la faculté de Droit de Ben Aknoun, recevra à son tour en novembre 1993, une lettre de l’OJAL le menaçant de mort. Quelques mois plus tard, des hommes armés se présenteront à son domicile pour l’assassiner. Il réussira à leur échapper.

                          Mohamed Bouslimani, homme de culture et théologien, président de l'association caritative El Irshad Oual Islah, enlevé à son domicile le 26 novembre 1993. Son enlèvement sera revendiqué simultanément par l'OJAL et le GIA (probablement une absence de coordination entre les deux organisations criminelles issues de la même officine). Son corps, en état de décomposition avancée, sera découvert dans la région d'El Affroun (Blida) le 28 janvier 1994.

                          Mohamed Saïd Moulay, professeur et doyen de l’Institut de mathématiques de l’Université de Bab Ezzouar, recevra lui aussi en mars 1993 une lettre de menace de mort de l’OJAL. En décembre 1993, deux civils armés feront irruption à son bureau à l’Institut de mathématiques. Devant les menaces, il se mettra à protester à haute voix afin d’attirer l’attention des secrétaires et des directeurs-adjoints de l’Institut. Affolés par l’attroupement des fonctionnaires et des étudiants devant le bureau du Doyen, les deux criminels prendront la fuite. Ce n’était que partie remise. En effet, cet universitaire sera kidnappé avec ses deux enfants en bas âge le 19 juin 1994 par des civils armés sur l’autoroute d’El Harrach puis séquestré durant 30 jours et torturé au commissariat central d’Alger (voir chapitre tortures).
                          algeria-watch & HRW
                          Ce n’est pas parce qu’on a des idées fondées sur la religion qu’on est terroriste, et ce n’est pas parce qu’on se prétend moderniste ou démocrate qu’on ne l’est pas. Mahiou FFS assassiné le 4/11/1994

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                          • #28
                            sousou
                            y a des chose que youme el kiammaa eybaanou et yethassebou
                            toutes façon rien ne dure un beau jour tous les tertre serons mort
                            sont gagniez sur terre mais l'enfer les attentent
                            faut jamais dire de nos que suis instruit ou je suis savon par ce qu il y a beaucoup de tertre et rival et jaloux de savon c par principe et les gents aurons toujours besoin d'eux pensé a l'avenir font ça pour détruire la personnalité algérienne c 'est claire !et c'est dommage
                            tous finira un jour "l’argent "tous sauf le bon Allah restera éternel" les autres instruits allah yerhammhoum et yewassaa allihoum
                            tout est résumé ci haut, rien a ajouter, merci sousou.
                            أصبحنا أمة طاردة للعلماء مطبلة للزعماء

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                            • #29
                              pas besoin de tuer pour aller en Enfer. il suffit de ne pas croire en Dieu. en Enfer, il y a aussi de la place pour les "gentils".

                              Said Mekbel :Je pense que, malgré moi, je suis un allié du FIS. Pourquoi ? Parce que le FIS et moi, nous sommes d'accord sur une chose. Nous avions un million de choses qui nous séparent et il y en a une qui nous réunit. C'est que je suis convaincu qu'il faut absolument que ce régime tombe pour sauver ce pays. C'est un régime qui est corrompu. Il faut absolument qu'il disparaisse. Et c'est ce que pense le FIS.
                              Tous mes écrits reflètent mon opposition au pouvoir. Depuis 1988, j'étais contre le pouvoir sauf à un moment donné quand il y a eu Boudiaf.
                              Boudiaf a incarné pour beaucoup d'algériens un certain espoir. celui de faire tomber le Régime. le contexte des révolutions arabes veut que l'issue logique des législatives du 10 mai soit une victoire des islamistes. mais les islamistes ont un sacré bilan en terme de tueries. des simples citoyens à des personnalités historiques comme Boudiaf. si le puzzle des révolutions arabes se complètait par une victoire des islamistes aux législatives du 10 mai, alors Boudiaf et toutes les victimes de la Tragédie Nationale seront morts pour rien. un triomphe des islamistes en Algérie serait une insulte à la mémoire de Boudiaf. lui qui a su incarner plus que quiconque l'opposition au Régime même si ce fut de courte durée. ce serait une insulte à la mémoire de toutes les victimes de la Tragédie Nationale.
                              Dernière modification par Vigilance, 15 mars 2012, 20h22.
                              la curiosité est un vilain défaut.

                              Commentaire

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