Les services de sécurité ont procédé tout récemment à la fermeture de plusieurs cybercafés dans la circonscription de Maâtkas en raison de la non-conformité de ces établissements à la nouvelle réglementation régissant ce genre d’activité.
Tout le monde aura été pris de court dans cette opération, particulièrement les innombrables férus du Net qui sont contraints d’aller voir ailleurs pour se connecter. Il convient de souligner que de nombreuses dispositions doivent être observées dans ces endroits tels que les plans d’aménagement où doivent exister des issues de secours, des sanitaires, des moyens de lutte anti-incendies, des aérations… La nouvelle réglementation est également motivée par la lutte contre la cybercriminalité, croit-on savoir dans les milieux avertis. Pour l’heure, au niveau des communes de Maâtkas et de Souk-El- Ténine, tous les propriétaires s’attellent à effectuer toute la paperasse nécessaire pour s’y conformer, surtout que désormais pour exploiter un cybercafé, c’est toute une enquête commodo-incommodo qui devra être lancée par le président de l’APC de la collectivité concernée ; autrement dit, un cybercafé est un établissement classé d’utilité publique régi par une réglementation qui devra être observée à la lettre.
Amayas Idir - Le Soir d'Algérie.
Tout le monde aura été pris de court dans cette opération, particulièrement les innombrables férus du Net qui sont contraints d’aller voir ailleurs pour se connecter. Il convient de souligner que de nombreuses dispositions doivent être observées dans ces endroits tels que les plans d’aménagement où doivent exister des issues de secours, des sanitaires, des moyens de lutte anti-incendies, des aérations… La nouvelle réglementation est également motivée par la lutte contre la cybercriminalité, croit-on savoir dans les milieux avertis. Pour l’heure, au niveau des communes de Maâtkas et de Souk-El- Ténine, tous les propriétaires s’attellent à effectuer toute la paperasse nécessaire pour s’y conformer, surtout que désormais pour exploiter un cybercafé, c’est toute une enquête commodo-incommodo qui devra être lancée par le président de l’APC de la collectivité concernée ; autrement dit, un cybercafé est un établissement classé d’utilité publique régi par une réglementation qui devra être observée à la lettre.
Amayas Idir - Le Soir d'Algérie.
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