Le PDG du groupe industriel ENAD, Tahar Khaldi, a été pris en otage dans son bureau ce jeudi 2 juin 2011, par une trentaine d’ex- contractuels de la filiale Sidet, apprend-on de source bien informée.
Cette démonstration de force est justifiée, selon des mécontents, par le refus de la direction générale de l’ENAD, un groupe industriel spécialisé dans la fabrication des produits d’entretien et de détergents qui, coiffe l’ensemble des unités de production implantées à travers plusieurs régions du pays, « de les réintégrer dans leurs postes respectifs de travail ».
Il convient de souligner, que ces ex-contractuels ayant élus domicile depuis le 13 février dernier à la terrasse et les bureaux de la direction générale de L’ENAD, pour exiger des pouvoirs publics de les réintégrer dans leurs postes de travail, ne cessent de réclamer du travail au niveau de cette filiale.
Les contestataires ont « ordonné » au personnel de l’administration de quitter leurs bureaux, sauf le PDG. Contacté par téléphone, le PDG en question a confirmé qu’il est séquestré dans son bureau. De leur côté, un manifestant a précisé qu’ils ne quitterons pas cette fois ci, les lieux avant que les pouvoirs publics ne répondent favorablement à leurs demande. Les forces de sécurités ne sont pas encore intervenu pour libérer « l’otage ».
Amar Fedjkhi - El Watan.
Cette démonstration de force est justifiée, selon des mécontents, par le refus de la direction générale de l’ENAD, un groupe industriel spécialisé dans la fabrication des produits d’entretien et de détergents qui, coiffe l’ensemble des unités de production implantées à travers plusieurs régions du pays, « de les réintégrer dans leurs postes respectifs de travail ».
Il convient de souligner, que ces ex-contractuels ayant élus domicile depuis le 13 février dernier à la terrasse et les bureaux de la direction générale de L’ENAD, pour exiger des pouvoirs publics de les réintégrer dans leurs postes de travail, ne cessent de réclamer du travail au niveau de cette filiale.
Les contestataires ont « ordonné » au personnel de l’administration de quitter leurs bureaux, sauf le PDG. Contacté par téléphone, le PDG en question a confirmé qu’il est séquestré dans son bureau. De leur côté, un manifestant a précisé qu’ils ne quitterons pas cette fois ci, les lieux avant que les pouvoirs publics ne répondent favorablement à leurs demande. Les forces de sécurités ne sont pas encore intervenu pour libérer « l’otage ».
Amar Fedjkhi - El Watan.