Ait Ahmed, Game Over confirmé.

[Algerie-libre]

Une chose est sûre et je l'ai déjà dit, si le FIS sera doté d'un agrément à nouveau et en connaissant le peuple Algérien croyez moi qu'il va redevenir encore une fois majoritaire (la Kabylie à part). Notre peuple est trés sensible aux discours des intégristes et surtout celui de Ali Benhadj.

Il est du devoir du Gouvernement de sensibiliser ses citoyens des dangers qui -re-mettraient leurs vie et celle du pays en danger.
Cela étant dit, Ali Belhadj et son Mouvement Islamiste ne sont pas les seuls à blâmer dans cette histoire : à Eux, il faudrait rajouter ces microbes qui pourrissent des partis historique comme le Fln, les généraux, Monsieur le Président Boutesrika, Sa majesté le Roi M Toufik, et tous ceux qui en tiraient bénéfices de leur système ...
Plus j'essaie de voir l'avenir de mon pays, et plus je suppose que les deux décennies passées ne soient que de simples avant-goûts d'une catastrophe historique qui se rapproche à pas de géants.
Mais Allah Yastar.

Si les algériens sont sensibles aux discours des intégristes alors même moi je demanderais l'indépendance de la Kabyle. Qu'ils gardent le pétrole et les charognards, de toute façon le peuple n'a jamais vu les retombées de la manne pétrolière.

Et si une moitié d'Algériens voteraient 'Pour' et que l'autre voterait 'Contre' ... Tu demanderais l'indépendance de la moitié du pays ?

[nedjmala]

au même instant...

chanson "châabi" douce et paisible sur le canal, oud banjo et derbouKa compris, mais bon, pour le sujet et les refrains qu'il comporte, cessez deux minutes les "faux" conflits et n'évitez pas le débat ou, pour ceux qui se pensent autrement, cesser deux minutes les faux débats et évitez les vrais conflits...

il se tourne beaucoup de chose à la fois, nous sommes d'accord et ne m'épargnez pas des mélanges plus ou moins correspondants à leurs valeurs, n'est ce pas, ensuite comment des hommes et de ces jours très lumineux en leur chemin ne se trouvent-ils pas Raison de chaque clarté, qu'elle soit culturelle ou conjoncturelle des états, de l'Histoire, des consciences, facile à dire vous me direz vous, facile à voir sera réponse de la nature humaine qui se défend et des erreurs qu'elle entretient sans partage, si l'on peut dire de cette façon...

les politiques et les spiritualités valaient ce passage en d'autres débats, vos avis sont les bienvenus(es) bien entendu et il disait cela...

"disons déjà que l'Islam est laïque comme bon nombre de "religions" attentistes et respectables à l'Etre Humain, peut être, d'un point de vue commun et attentif, que la ou les politiques se soient empruntées, il n'y a pas si longtemps que cela, les chemins de ces communautés spirituelles, de fait et d'une part, la"jeunesse" politique peut se chercher un ou des futurs mais beaucoup moins de sa ligne passée, l'Impérialisme et la Monarchie ayant été fortement dispersées, aussi, 1 ou 2 siècles se mesurent de facto à quelques millénaires tout ceci étant dit des façons objectives bien entendus, l'intérieur des éléments étant eux même diversement définis, d'autres parts, la remarque humble et honorable des sens actuels et citoyens provoque inévitablement ceux, les sens, peu comparables des façons et des effets de portes supplémentaires et à qui l'entend,...une chose pratique demeure qu'il soit de rester Humain, comme il se défend des croyances et des êtres depuis toujours à ce sujet, la Politique semble, en si peu de temps, s'être éloignée ou égarée du Sens ici commun et exigible à toutes circonstances, à toutes perspectives, à tout avenir, disons, des façons de l'Institut, que fait la Démocratie de cette échappée...

Salam, bonsoir, merci..."

remercions ces instants chansonniers, musiciens, et débattus, en attendant de vous revoir...

...Salam, merci...

[mob_dz]

Je me permet de transposer ici, l'entame d'un débat que j'ai par ailleurs sur la lettre d'Ait Ahmed.

Il semblerait d'après cette réponse que je soit dans le faux pour ce qui est de ma lecture de cette missive:

Sincèrement, j'ai lu le texte de Monsieur Aït Ahmed plusieurs fois, et en lisant votre "analyse" de l'extrait, j'ai compris que vous êtes complètement à côté de la plaque. Soit vous n'avez rien compris à ce que dit ce monsieur, soit vous détournez délibérément ses propos. Et dans les deux cas, ce n'est pas à votre honneur, monsieur le "démocrate" qui donne ses opinions.

Et pourtant ma conviction est faite alors j’étale ma lecture, en espérant avoir d'autres avis:

"Le malheur de l’Algérie n’aurait pas été si sanglant, ni son désarroi si profond, si le choix de l’exclusion et de la violence n’avait été le fait que du pouvoir. ». Nous avons là le premier pan du « ni,ni » : le pouvoir pratique l’exclusion et la violence.

« Il se trouve que des courants au sein de la société se sont construits exclusivement sur l’apologie de l’exclusion et de la violence. ». Second pan du « ni,ni », avec la fameuse affiliation de ces courants à la société algérienne, façon à la fois de la culpabiliser de les avoir enfanté ; et de la condamner à se les colporter pour l’éternité. Il tout de même intéressant de relever, ici, un semblant d’évolution chez Ait Ahmed. Elle tient en un mot, qui semble plus lui avoir échappé et se révèle au regard de la suite du texte n’être qu’un lapsus. Ce mot essentiel, n’en demeure pas moins la seule note de sincérité de cette missive ; c’est le mot : « exclusivement » ; « se sont construits exclusivement ». Un tel constat devrait en toute logique amener à s’interroger sur la possibilité d’une quelconque capacité d’intégration de ces courants à un espace politique démocratique. Comment des courants qui « se sont construits exclusivement sur l’apologie de l’exclusion et de la violence. » peuvent-ils être courtisés et admis à intégrer l’espace démocratique .Ne sont-ils pas justement, du fait de cette exclusive, l’antinomie de la démocratie ? Tel ne semble pas être le sentiment de notre interlocuteur. Sinon pourquoi persévèrerait-il à discuter avec eux ?

« Quel que soit le lourd soupçon de manipulation par le pouvoir réel qui pèse sur ces courants, ». Le constat que l’apologie de l’exclusion et de la violence constitue l’essence de « ces mouvements », n’amène pas notre correspondant à renoncer à la thèse de la manipulation ; comme si la nature profonde de ces courants avait besoin d’être déviée, ou manipulée, pour s’exprimer tel qu’elle l’a fait comme violence primitive, et sans limites. En attribuant la responsabilité de cette manipulation (donc de la violence) au « pouvoir réel », Hocine Ait Ahmed entend surtout dédouane au passage le reste du « pouvoir » ; le pouvoir apparent, celui de Bouteflika, qu’il sait acquis à la réhabilitation de « ces courants ».

« Il n’en demeure pas moins qu’une clarification de leur part demeure indispensable pour signifier clairement un saut qualitatif dans la formulation du sacré en politique. ». En toute logique, on peut s’attendre là à un développement au sujet de la séparation des sphères du sacré et du profane. Même si la fameuse construction exclusive de ces courants « sur l’apologie de l’exclusion et de la violence. », ne devrait nourrir, en toute sincérité, aucune illusion sur la capacité ou la volonté de ces courants à prendre part à un « un saut qualitatif dans la formulation du sacré en politique. ». A moins que ce saut qualitatif soit l’instauration de « la suprématie de la loi légitime » version Saint-Egidio. On en saura pas plus. On déchantera tout de même.

« Ce qui est sacré, ce n’est plus seulement le sang déjà versé, c’est aussi la construction d’un système politique qui rende sacrée la préservation du sang des algériens ». Ce passage clarifie la nature du texte, qui n’a aucune prétention théorique, ni hauteur historique. Pour ce qui est du sacré, il ne s’agit de « sang » ? Mais quel est ce sang qui pose problème ? Celui des algériens tombés pour l’indépendance du pays ? Celui des patriotes qui se sont engagés en 1963 derrière Ait Ahmed qui n’est plus obnubilé, aujourd’hui, que par celui de Mecili ? Celui des milliers d’Algériens intellectuels, militaires, fonctionnaires, simples citoyens sans défense, fauchés pas ces courants qui « se sont construits exclusivement sur l’apologie de l’exclusion et de la violence. » ? Non, aucun de ces sangs-là ne pose problème à ses marchandages de l’ombre. Spéculations me dites-vous ? Absolument pas, il a suffi d’attendre trois jours pour que Benhadj apporte la confirmation de cette lecture. Il affirme haut et fort la sacralité du sang de Hachani, et autres chefs de ces courants qui « se sont construits exclusivement sur l’apologie de l’exclusion et de la violence. ». Chacun rend public à sa manière les conclusions d’un négoce honteux sur l’avenir de la Nation, et sur notre sort de citoyens sommés de nous contenter de participer à une « dynamique de débat national qui porte sur les préoccupations quotidiennes des citoyens ». La chose politique étant réservée à syadna !

[bel-court]

Ait Ahmed a toujours tenté de pêcher l'électorat du FIS mais il ignore toujours que l'électorat du FIS voterait pouvoir plutôt que de voter pour lui. Il ignore toujours que le pouvoir algérien manipule les masses avec toutes les ficelles qu'il tient.

[Hyde]

C'est un vrai psychopathe ce belhadj ! Son populisme fait froid dans le dos, on dirai un nouvel Himmler doublé d'un propagandiste de la trempe d'un Goebbels ! Il fait un discours de haine et de violence basé sur la Fitna, c'est un document effrayant et qui demeure lourd de menaces pour la société civile algérienne tant que ce fou demeure auprès de nous !

ouaalaah Himmler meskine. quelle comparaison. un peu de respect pour sa mémoire.