Des émeutiers arrêtés ont été maltraités à M'Sila
"Nos enfants ont été déshabillés ,et gardés nus toute la nuit dans un hangar de la sûreté de wilaya ouvert aux quatre vents ,avant d’être torturés" ,ont déclarés à El Watan des pères,dont les enfants ont été appréhendés lors des émeutes du 5,6 et 7 janvier dernier.
Plusieurs parents de jeunes manifestants, sont dans un état d’effarement devant cette barbarie, qui n’a d’égal, que dans les systèmes totalitaires.
Ces mêmes parents dénoncent « la politique de discrimination que pratiquent les pouvoirs publics dans la gestion de ces émeutes qui sont permises dans certaines wilayas, disent-ils, où les manifestants ont été tout simplement relaxés, et dans notre wilaya, s’emportent-ils, nos enfants ont été non seulement incarcérés dans les pires conditions, mais sévèrement torturés. Leur seul tort est de s’être exprimé par le seul moyen d’expression que le système leur a inculqué. »
Plus de 15 jours après les émeutes, rien n’a filtré ni sur le nombre des jeunes arrêtés, ni sur les conditions de détention et encore moins sur leur situation vis-à-vis des instances judiciaires.
On parle de 400 détenus dans la caserne de la gendarmerie au lieu dit Draa El Hadja, à quelques encablures de M’sila, et l’opération d’arrestation persiste à ce jour, ont rapportés des citoyens.
El Watan Web
"Nos enfants ont été déshabillés ,et gardés nus toute la nuit dans un hangar de la sûreté de wilaya ouvert aux quatre vents ,avant d’être torturés" ,ont déclarés à El Watan des pères,dont les enfants ont été appréhendés lors des émeutes du 5,6 et 7 janvier dernier.
Plusieurs parents de jeunes manifestants, sont dans un état d’effarement devant cette barbarie, qui n’a d’égal, que dans les systèmes totalitaires.
Ces mêmes parents dénoncent « la politique de discrimination que pratiquent les pouvoirs publics dans la gestion de ces émeutes qui sont permises dans certaines wilayas, disent-ils, où les manifestants ont été tout simplement relaxés, et dans notre wilaya, s’emportent-ils, nos enfants ont été non seulement incarcérés dans les pires conditions, mais sévèrement torturés. Leur seul tort est de s’être exprimé par le seul moyen d’expression que le système leur a inculqué. »
Plus de 15 jours après les émeutes, rien n’a filtré ni sur le nombre des jeunes arrêtés, ni sur les conditions de détention et encore moins sur leur situation vis-à-vis des instances judiciaires.
On parle de 400 détenus dans la caserne de la gendarmerie au lieu dit Draa El Hadja, à quelques encablures de M’sila, et l’opération d’arrestation persiste à ce jour, ont rapportés des citoyens.
El Watan Web