Le forcing exercé par l’Armée nationale populaire (ANP) durant ces quatre dernières semaines dans les maquis situés en Kabylie semble donner des résultats importants, puisque le chef d’El-Qaïda au Maghreb, Abdelmalek Droukdel, serait sur le point de se rendre ainsi qu’un important nombre de terroristes sous ses ordres.
A en croire notre source sécuritaire, «les groupes du GSPC activant dans la région de la Kabylie ont été totalement anéantis, à l’exception de quelques éléments qui ne présentent pas de menace sérieuse». Elle ajoute que «leur chef, Abdelmalek Droukdel, qui se trouve parmi le groupe encerclé dans les montagnes de Kabylie, a manifesté son intention de se rendre aux forces de sécurité stationnées dans cette région». Aucun autre détail sur les mesures prises ni d’informations sur la reddition de ce chef terroriste n’a été divulgué.
Cette information qui circule parmi les autres éléments du GSPC a provoqué des déchirements au sein des groupes terroristes.
En tout cas, tout porte à croire que les groupes terroristes du GSPC activant sous les ordres de Droukdel ont été confrontés, ces dernières semaines, à une véritable guerre lancée contre les fiefs terroristes par les forces combinées de sécurité. Cette lutte implacable et stratégique dirigée par les forces de l’armée nationale populaire dans l’ensemble des maquis situés entre Béjaïa, Tizi-Ouzou, Bouira et Boumerdès, a eu des résultats positifs. Selon d’autres sources, une cinquantaine de terroristes auraient été abattus et d’autres contraints de se rendre.
Il est utile de rappeler que les opérations de ratissage déclenchées dans la région de la Kabylie, et qui ont permis d’encercler les terroristes de l’organisation du GSPC et leur chef Abdelmalek Droukdel, ont été rendues possibles grâce à une meilleure coordination des forces combinées de sécurité ainsi qu’à la mise en œuvre d’une stratégie de lutte commandée par les forces de l’ANP.
A ce titre, plus de 10 000 soldats ont renforcé cette lutte et une importante logistique a été déployée, soutenus à la base par les forces de police et de gendarmerie.
Des sources sécuritaires ont fait savoir que «le ratissage se poursuit toujours dans les maquis soupçonnés de regrouper d’autres éléments armés qui ne veulent pas se rendre, alors que leur chef s’apprête a déposer les armes».
La même source a expliqué que «la présence en nombre important de terroristes dans la région de Sidi Ali Bounab aurait pour objectif la tenue d’une sorte de réunion qui devait regrouper l’ensemble des émirs des phalanges du GSPC».
Agissant sur la base d’informations fiables, les forces de sécurité ont rapidement investi la région de Sidi Ali Bounab où le premier groupe terroriste a été encerclé, avant de ceinturer une semaine après l’ensemble des maquis situés entre Béjaïa et Boumerdès en passant par Bouira et Tizi Ouzou. A mesure que les opérations de ratissage se multiplient, les effectifs des forces de sécurité augmentent pour atteindre au moins 10 000 hommes. Ces éléments sont des soldats, des parachutistes, des éléments des unités spéciales de l’ANP et des éléments de la police judiciaire et de la gendarmerie. Tous ont contribué à la réussite de cette opération d’envergure qui a permis de sécuriser plusieurs régions qui étaient sous la menace des groupes terroristes du GSPC... A suivre.
A. Timizar
A en croire notre source sécuritaire, «les groupes du GSPC activant dans la région de la Kabylie ont été totalement anéantis, à l’exception de quelques éléments qui ne présentent pas de menace sérieuse». Elle ajoute que «leur chef, Abdelmalek Droukdel, qui se trouve parmi le groupe encerclé dans les montagnes de Kabylie, a manifesté son intention de se rendre aux forces de sécurité stationnées dans cette région». Aucun autre détail sur les mesures prises ni d’informations sur la reddition de ce chef terroriste n’a été divulgué.
Cette information qui circule parmi les autres éléments du GSPC a provoqué des déchirements au sein des groupes terroristes.
En tout cas, tout porte à croire que les groupes terroristes du GSPC activant sous les ordres de Droukdel ont été confrontés, ces dernières semaines, à une véritable guerre lancée contre les fiefs terroristes par les forces combinées de sécurité. Cette lutte implacable et stratégique dirigée par les forces de l’armée nationale populaire dans l’ensemble des maquis situés entre Béjaïa, Tizi-Ouzou, Bouira et Boumerdès, a eu des résultats positifs. Selon d’autres sources, une cinquantaine de terroristes auraient été abattus et d’autres contraints de se rendre.
Il est utile de rappeler que les opérations de ratissage déclenchées dans la région de la Kabylie, et qui ont permis d’encercler les terroristes de l’organisation du GSPC et leur chef Abdelmalek Droukdel, ont été rendues possibles grâce à une meilleure coordination des forces combinées de sécurité ainsi qu’à la mise en œuvre d’une stratégie de lutte commandée par les forces de l’ANP.
A ce titre, plus de 10 000 soldats ont renforcé cette lutte et une importante logistique a été déployée, soutenus à la base par les forces de police et de gendarmerie.
Des sources sécuritaires ont fait savoir que «le ratissage se poursuit toujours dans les maquis soupçonnés de regrouper d’autres éléments armés qui ne veulent pas se rendre, alors que leur chef s’apprête a déposer les armes».
La même source a expliqué que «la présence en nombre important de terroristes dans la région de Sidi Ali Bounab aurait pour objectif la tenue d’une sorte de réunion qui devait regrouper l’ensemble des émirs des phalanges du GSPC».
Agissant sur la base d’informations fiables, les forces de sécurité ont rapidement investi la région de Sidi Ali Bounab où le premier groupe terroriste a été encerclé, avant de ceinturer une semaine après l’ensemble des maquis situés entre Béjaïa et Boumerdès en passant par Bouira et Tizi Ouzou. A mesure que les opérations de ratissage se multiplient, les effectifs des forces de sécurité augmentent pour atteindre au moins 10 000 hommes. Ces éléments sont des soldats, des parachutistes, des éléments des unités spéciales de l’ANP et des éléments de la police judiciaire et de la gendarmerie. Tous ont contribué à la réussite de cette opération d’envergure qui a permis de sécuriser plusieurs régions qui étaient sous la menace des groupes terroristes du GSPC... A suivre.
A. Timizar
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