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Passeport biométrique
L’opération se passe mal selon Dahou Ould Kablia
Le passeport biométrique ? « Ça marche mal ». L’aveu est du ministre de l’Intérieur Dahou Ould Kablia. Selon le ministre, qui s’est confié à des journalistes à l’APN, « les gens sont pressés d’avoir leur passeport ». Mais le dispositif n’est pas encore bien en place. Sur les 600 équipements nécessaires à la réalisation du document, « nous n’en avons acquis que 80 », a-t-il reconnu. Pour pallier à cette situation, le ministère a décidé de délivrer des passeports classiques d’une durée de deux ans, a précisé M. Ould Kablia.
Le contrat de réalisation du passeport biométrique algérien a été confié fin 2009 à la société française Oberthur, après un appel d’offres national et international restreint. Oberthur est en effet chargée de mener les trois phases nécessaires à la confection du premier passeport biométrique algérien: le cryptage des données, la personnalisation du document et la puce. Mais les opérations avancent lentement.
tsa
L’opération se passe mal selon Dahou Ould Kablia
Le passeport biométrique ? « Ça marche mal ». L’aveu est du ministre de l’Intérieur Dahou Ould Kablia. Selon le ministre, qui s’est confié à des journalistes à l’APN, « les gens sont pressés d’avoir leur passeport ». Mais le dispositif n’est pas encore bien en place. Sur les 600 équipements nécessaires à la réalisation du document, « nous n’en avons acquis que 80 », a-t-il reconnu. Pour pallier à cette situation, le ministère a décidé de délivrer des passeports classiques d’une durée de deux ans, a précisé M. Ould Kablia.
Le contrat de réalisation du passeport biométrique algérien a été confié fin 2009 à la société française Oberthur, après un appel d’offres national et international restreint. Oberthur est en effet chargée de mener les trois phases nécessaires à la confection du premier passeport biométrique algérien: le cryptage des données, la personnalisation du document et la puce. Mais les opérations avancent lentement.
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