Ils protestent contre les réponses non convaincantes données par les ministres à leurs questions
Les députés veulent le contrôle sur les walis
Les députés participant au séminaire tenu hier au niveau du siège de l’Assemblée populaire nationale sur « la responsabilité politique : les relations entre les parlements et les citoyens », ont critiqué longuement les hautes institutions de l’Etat, les reprochant « de ne pas coopérer avec eux afin d’encourager la mission du contrôle du Parlement ».
« Le seul moyen de contrôle dont dispose les députes ce sont les questions écrites et orales à adresser aux ministres, selon certaines députés prenant part à ce séminaire », ajoutant que ce moyen « s’est révélé inefficace », précisant que le cadre législatif actuel « ne permet pas de donner une suite aux questions des parlementaires si ces derniers ne sont pas satisfaits des réponses fournies par les ministres ».
Dans ce sens, le député Messaoud Chhoub a expliqué que cette situation résulte « du vide juridique ». A noter que ce séminaire a coïncidé avec la Journée internationale de la démocratie. Pour sa part, le président du groupe du RCD, Mazouz Athmane, s’est opposé à cette initiative, soulignant dans le même sillage que « les nombreuses questions auxquelles les ministres ne sont pas obligés de répondre dans les délais fixés par le Parlement, confirme que la démocratie en Algérie n’est qu’une illusion ».
El Khabar
Les députés veulent le contrôle sur les walis
Les députés participant au séminaire tenu hier au niveau du siège de l’Assemblée populaire nationale sur « la responsabilité politique : les relations entre les parlements et les citoyens », ont critiqué longuement les hautes institutions de l’Etat, les reprochant « de ne pas coopérer avec eux afin d’encourager la mission du contrôle du Parlement ».
« Le seul moyen de contrôle dont dispose les députes ce sont les questions écrites et orales à adresser aux ministres, selon certaines députés prenant part à ce séminaire », ajoutant que ce moyen « s’est révélé inefficace », précisant que le cadre législatif actuel « ne permet pas de donner une suite aux questions des parlementaires si ces derniers ne sont pas satisfaits des réponses fournies par les ministres ».
Dans ce sens, le député Messaoud Chhoub a expliqué que cette situation résulte « du vide juridique ». A noter que ce séminaire a coïncidé avec la Journée internationale de la démocratie. Pour sa part, le président du groupe du RCD, Mazouz Athmane, s’est opposé à cette initiative, soulignant dans le même sillage que « les nombreuses questions auxquelles les ministres ne sont pas obligés de répondre dans les délais fixés par le Parlement, confirme que la démocratie en Algérie n’est qu’une illusion ».
El Khabar
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