Par Hakim Laâlam
Email : [email protected]
Confirmation de la normalisation des relations entre
l’Algérie et l’Égypte.
Un caillassage partout !
Je souhaite que le ministre de la Santé tienne jusqu’au bout son challenge. Celui d’interdire le port du hidjab par le personnel soignant. Oh ! Bien sûr, on peut épiloguer sur ce genre de mesures, alors que le secteur souffre d’autres maux, comme les ruptures de stock de médicaments pour malades chroniques, les infrastructures et autres refontes et révolutions à opérer dans ce domaine. Oui ! Mille fois oui ! Mais en même temps rien n’interdit au ministre, dans la foulée de son énergie débordante, d’ouvrir aussi d’autres fronts, d’autres batailles dans ce secteur de la santé rongé par l’intégrisme. Un intégrisme debout, et surtout pas rampant. En cela, et même si, je le répète, il faut aller sur les dossiers lourds, je soutiens à fond l’interdiction faite aux infirmières et aux médecins de porter le hidjab dans l’enceinte des hôpitaux. Il est du droit des patients de ne pas supporter les effluves nauséabondes qui se dégagent des aisselles de soignantes engoncées dans des kilomètres de tissu non conforme à la pratique professionnelle, n’absorbant pas comme le ferait la blouse en coton les sécrétions abondantes en cette période caniculaire de l’été. Je la soutiens, cette initiative et je propose qu’on aille plus loin. Pas de hidjab et pas de gandoura ni de kamis non plus. Y a pas que le hidjab ! Il y a aussi ces infirmiers et médecins qui viennent te transfuser ou te perfuser et qui te fichent sous le nez leur gandoura aux couleurs douteuses. Un hôpital est un hôpital, ya bouguelb ! Il y a des tenues conventionnelles et obligatoires pour et dans ce genre de lieux. Et le rappeler est, à mes yeux, salutaire. Ce n’est pas l’unique combat à mener. Mais c’est un combat à mener aussi, et Djamel Ould Abbès a eu le courage de l’entamer cette réforme-là. Il est devenu plus qu’… urgent de retrouver une structure hospitalière identifiée et normalisée. Car au jour d’aujourd’hui, vous ne savez plus qui est qui dans un service. Et vous vous tenez le ventre en pensant au nombre de germes dangereux que les personnels «soignants» font entrer en milieu stérile à travers les hidjabs dont les traînes… ont traîné toute la journée sur le bitume et les rigoles des rues. Ya sahbi ! Sbittar quand même ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
H. L.
Email : [email protected]
Confirmation de la normalisation des relations entre
l’Algérie et l’Égypte.
Un caillassage partout !
Je souhaite que le ministre de la Santé tienne jusqu’au bout son challenge. Celui d’interdire le port du hidjab par le personnel soignant. Oh ! Bien sûr, on peut épiloguer sur ce genre de mesures, alors que le secteur souffre d’autres maux, comme les ruptures de stock de médicaments pour malades chroniques, les infrastructures et autres refontes et révolutions à opérer dans ce domaine. Oui ! Mille fois oui ! Mais en même temps rien n’interdit au ministre, dans la foulée de son énergie débordante, d’ouvrir aussi d’autres fronts, d’autres batailles dans ce secteur de la santé rongé par l’intégrisme. Un intégrisme debout, et surtout pas rampant. En cela, et même si, je le répète, il faut aller sur les dossiers lourds, je soutiens à fond l’interdiction faite aux infirmières et aux médecins de porter le hidjab dans l’enceinte des hôpitaux. Il est du droit des patients de ne pas supporter les effluves nauséabondes qui se dégagent des aisselles de soignantes engoncées dans des kilomètres de tissu non conforme à la pratique professionnelle, n’absorbant pas comme le ferait la blouse en coton les sécrétions abondantes en cette période caniculaire de l’été. Je la soutiens, cette initiative et je propose qu’on aille plus loin. Pas de hidjab et pas de gandoura ni de kamis non plus. Y a pas que le hidjab ! Il y a aussi ces infirmiers et médecins qui viennent te transfuser ou te perfuser et qui te fichent sous le nez leur gandoura aux couleurs douteuses. Un hôpital est un hôpital, ya bouguelb ! Il y a des tenues conventionnelles et obligatoires pour et dans ce genre de lieux. Et le rappeler est, à mes yeux, salutaire. Ce n’est pas l’unique combat à mener. Mais c’est un combat à mener aussi, et Djamel Ould Abbès a eu le courage de l’entamer cette réforme-là. Il est devenu plus qu’… urgent de retrouver une structure hospitalière identifiée et normalisée. Car au jour d’aujourd’hui, vous ne savez plus qui est qui dans un service. Et vous vous tenez le ventre en pensant au nombre de germes dangereux que les personnels «soignants» font entrer en milieu stérile à travers les hidjabs dont les traînes… ont traîné toute la journée sur le bitume et les rigoles des rues. Ya sahbi ! Sbittar quand même ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
H. L.
Commentaire