Le ministre de l’Emploi et de la Solidarité nationale, M. Djamel Ould Abbas, a réitéré l’engagement de l’Etat à construire 1 760 logements au profit des victimes du terrorisme dont la priorité sera accordée aux veuves avec enfants ou aux ascendants.
Cette déclaration a été faite jeudi en marge de la journée d’étude sur l’évaluation du mouvement associatif national qui s’est tenue à Alger. Cette mesure vient s’ajouter aux aides arrêtées par les textes d’application de la charte pour la paix et la réconciliation nationale entrés en vigueur le 28 février dernier.
Ainsi, en plus du capital global, variant entre 100 et 173 millions de centimes, et des pensions mensuelles de 10 000 à 16 000 DA versés aux ayants droit des victimes de la tragédie nationale, l’Etat fera un effort supplémentaire en construisant des logements pour les familles des victimes.
Par ailleurs nous avons appris de sources concordantes que les premiers prisonniers graciés ont quitté les lieux de détention depuis mercredi passé. Environ 3 000 personnes entre condamnés définitivement, en attente de procès, ayant interjeté appel ou bénéficiant de remise de peine et l’ayant totalement purgée retrouveront progressivement la liberté.
Pour cette catégorie de personnes, le gouvernement n’a pas encore indiqué s’il prévoit un dispositif spécial d’aide à leur insertion aussi bien dans la vie active que dans la société. Sur un autre plan, le ministre, tout en rendant un vibrant hommage aux associations qui activent, surtout dans les régions déshéritées du pays, a indiqué que son département a mis en place 38 maisons d’associations dotées de toutes les commodités à travers le territoire national.
Lors de cette rencontre, les participantes ont appelé à la création d’un fonds national pour assurer l’autofinancement des associations. Elles ont également plaidé pour la mise en place de réseaux qui regrouperont l’ensemble des associations, et ce, dans le but de coordonner leurs activités et pouvoir ainsi s’imposer dans le processus de développement national.
La constitution de réseaux, selon les intervenantes, «est d’autant plus importante qu’ils constituent un facteur de crédibilité à l’intérieur du pays, au niveau régional, voire international». Les participantes ont, par ailleurs, relevé la nécessité de la mise en place d’une banque de données sur le mouvement associatif et l’organisation de journées de formation au profit des militantes.
De son côté, Mme N. Ait Zai, présidente du Centre d’information et de documentation sur l’enfance et la femme (CIDEF) a indiqué que «les associations doivent travailler ensemble, en partenariat, pour construire des ponts entre le mouvement associatif et les institutions de l’Etat».
Elle a signalé que le mouvement associatif vient en complément aux activités de l’Etat, pour défendre les couches défavorisées ou créer des projets de développement». Mme Ait Zai a tenu à préciser que le mouvement associatif ne peut en aucun cas se substituer à l’Etat.
Il convient de signaler que cette rencontre a été organisée par Nadhi Tatalouaât (Club des perspectives), dans le cadre des festivités marquant la journée mondiale de la femme. La rencontre a regroupé outre les militantes du mouvement associatif, le ministre de l’Emploi et de la Solidarité nationale, M. Djamel Ould Abbas, et d’anciens ministres.
Il convient de rappeler que le mouvement associatif regroupe quelque 80 000 associations, selon le ministère de l’Emploi et de la Solidarité nationale.
Par le Jeune Indépendant
Cette déclaration a été faite jeudi en marge de la journée d’étude sur l’évaluation du mouvement associatif national qui s’est tenue à Alger. Cette mesure vient s’ajouter aux aides arrêtées par les textes d’application de la charte pour la paix et la réconciliation nationale entrés en vigueur le 28 février dernier.
Ainsi, en plus du capital global, variant entre 100 et 173 millions de centimes, et des pensions mensuelles de 10 000 à 16 000 DA versés aux ayants droit des victimes de la tragédie nationale, l’Etat fera un effort supplémentaire en construisant des logements pour les familles des victimes.
Par ailleurs nous avons appris de sources concordantes que les premiers prisonniers graciés ont quitté les lieux de détention depuis mercredi passé. Environ 3 000 personnes entre condamnés définitivement, en attente de procès, ayant interjeté appel ou bénéficiant de remise de peine et l’ayant totalement purgée retrouveront progressivement la liberté.
Pour cette catégorie de personnes, le gouvernement n’a pas encore indiqué s’il prévoit un dispositif spécial d’aide à leur insertion aussi bien dans la vie active que dans la société. Sur un autre plan, le ministre, tout en rendant un vibrant hommage aux associations qui activent, surtout dans les régions déshéritées du pays, a indiqué que son département a mis en place 38 maisons d’associations dotées de toutes les commodités à travers le territoire national.
Lors de cette rencontre, les participantes ont appelé à la création d’un fonds national pour assurer l’autofinancement des associations. Elles ont également plaidé pour la mise en place de réseaux qui regrouperont l’ensemble des associations, et ce, dans le but de coordonner leurs activités et pouvoir ainsi s’imposer dans le processus de développement national.
La constitution de réseaux, selon les intervenantes, «est d’autant plus importante qu’ils constituent un facteur de crédibilité à l’intérieur du pays, au niveau régional, voire international». Les participantes ont, par ailleurs, relevé la nécessité de la mise en place d’une banque de données sur le mouvement associatif et l’organisation de journées de formation au profit des militantes.
De son côté, Mme N. Ait Zai, présidente du Centre d’information et de documentation sur l’enfance et la femme (CIDEF) a indiqué que «les associations doivent travailler ensemble, en partenariat, pour construire des ponts entre le mouvement associatif et les institutions de l’Etat».
Elle a signalé que le mouvement associatif vient en complément aux activités de l’Etat, pour défendre les couches défavorisées ou créer des projets de développement». Mme Ait Zai a tenu à préciser que le mouvement associatif ne peut en aucun cas se substituer à l’Etat.
Il convient de signaler que cette rencontre a été organisée par Nadhi Tatalouaât (Club des perspectives), dans le cadre des festivités marquant la journée mondiale de la femme. La rencontre a regroupé outre les militantes du mouvement associatif, le ministre de l’Emploi et de la Solidarité nationale, M. Djamel Ould Abbas, et d’anciens ministres.
Il convient de rappeler que le mouvement associatif regroupe quelque 80 000 associations, selon le ministère de l’Emploi et de la Solidarité nationale.
Par le Jeune Indépendant
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