Il semble que le phénomène de l(insécurité s’étend en Kabylie, Ain ElHammam a son tour n’est pas épargnée...
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Pas moins de cinq magasins et boutiques ont subi des coups de rafle durant la nuit. Le dernier date du week-end passé, où les malfaiteurs ont défoncé le rideau d’un kiosque pour le dévaliser, emportant ainsi appareils et autres objets de valeur. À cet effet, le climat d’insécurité plonge les citoyens de Michelet dans une peur généralisée, à l’exemple de certains commerçants terrifiés qui sombrent dans la pire des incertitudes. Ceux-ci redoublent de force en hurlant de colère face à cette situation : “On commence à soupçonner l’ampleur de ce fléau engendré d’abord par le laisser-aller, le chômage, l’oisiveté… et l’absence de sécurité”, nous dira Mohamed, un commerçant. À la cadence prise par ces bandes de malfrats nocturnes, l’armature des portes en fer forgé (blindées) ne suffit pas. “On n’est jamais bien défendu que par soi-même”, nous confie Salem, un jeune commerçant, qui avoue aménager une couchette à l’arrière-boutique pour y passer quelques nuits à l’intérieur de son magasin.
Décidément, les autres s’accordent à soutenir que tant que les forces de l’ordre n’interviennent pas de temps à autre par des descentes inopinées, histoire de marquer leur présence, il y aurait d’autres victimes.
Les commerçants se sentent ainsi menacés. Néanmoins, “il n’y a pas d’autres voies que celle de s’organiser et se prendre en charge”, ajoutera l’interlocuteur.
- Liberté.
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Pas moins de cinq magasins et boutiques ont subi des coups de rafle durant la nuit. Le dernier date du week-end passé, où les malfaiteurs ont défoncé le rideau d’un kiosque pour le dévaliser, emportant ainsi appareils et autres objets de valeur. À cet effet, le climat d’insécurité plonge les citoyens de Michelet dans une peur généralisée, à l’exemple de certains commerçants terrifiés qui sombrent dans la pire des incertitudes. Ceux-ci redoublent de force en hurlant de colère face à cette situation : “On commence à soupçonner l’ampleur de ce fléau engendré d’abord par le laisser-aller, le chômage, l’oisiveté… et l’absence de sécurité”, nous dira Mohamed, un commerçant. À la cadence prise par ces bandes de malfrats nocturnes, l’armature des portes en fer forgé (blindées) ne suffit pas. “On n’est jamais bien défendu que par soi-même”, nous confie Salem, un jeune commerçant, qui avoue aménager une couchette à l’arrière-boutique pour y passer quelques nuits à l’intérieur de son magasin.
Décidément, les autres s’accordent à soutenir que tant que les forces de l’ordre n’interviennent pas de temps à autre par des descentes inopinées, histoire de marquer leur présence, il y aurait d’autres victimes.
Les commerçants se sentent ainsi menacés. Néanmoins, “il n’y a pas d’autres voies que celle de s’organiser et se prendre en charge”, ajoutera l’interlocuteur.
- Liberté.
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