On est malheureusement loin d'être sur la bonne voie croyez moi!!!!
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Le Président Bouteflika procède à un remaniement du Gouvernement
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# - M. Ali BOUKRAMI: Secrétaire d'Etat auprès du Ministre de la Prospective et de la statistique, chargé de la statestique,
mais bouteflika tient a marquer sa puissance (je ne serai pas un trois quart president)
et temmar a été protegé plus que de raison
son bilan est dune nullité extravagante, ebourriffante, completement incompetant...a ce point cest rarissime
irrecuperable tocard
bouteflika fini par le lacher du bout des levres...il a eu tord de ne pas le virer sans autre formes de proces
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ALGER (AP) — Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a procédé vendredi à un remaniement gouvernemental marqué par le remplacement du tout puissant et jusque là inamovible ministre de l'Energie Chakib Khélil et par la promotion du ministre de l'Intérieur Nouredine Yazid Zerhouni au poste de vice-Premier ministre.
Selon un communiqué de la présidence de la République, Chakib Khélil cède son ministère de l'Energie à Youcef Youcefi, qui avait déjà dirigé ce département à l'époque du président Liamine Zeroual (1990-94).
Ce changement spectaculaire était néanmoins attendu: Chakib Khélil, qui fait partie du clan présidentiel, fait les frais des scandales financiers qui ont éclaboussé la compagnie pétrolière publique Sonatrach. Le directeur général de cette société est sous contrôle judiciaire, tandis que ses deux enfants et quatre de ses collaborateurs sont placés sous mandat de dépôt depuis février.
Ahmed Ouyahia conserve son poste de Premier ministre mais il sera désormais secondé par Nouredine Yazid Zerhouni en qualité de vice-Premier ministre, un poste créé lors de la révision de la Constitution en 1998.
Nouredine Yazid Zerhouni, qui fait partie des hommes du président, était ministre de l'Intérieur depuis l'arrivée de Bouteflika au pouvoir en 2004. Il y sera remplacé par Dahou Ould Kablia, jusque-là secrétaire d'état aux Collectivités locales.
A l'instar de Chakib Khélil, deux autres ministres quittent le gouvernement pour avoir failli dans la gestion de leurs secteurs respectifs. Il s'agit de Hamid Bessalah, remplacé au ministère des Télécoms par le PDG d'Algérie Télécom Moussa Benhamdi, et du ministre du Commerce El Hachemi Djaaboub, qui cède sa place à Mustapha Benbada.
Hamid Temmar, un des proches du président Bouteflika, perd son portefeuille de l'Industrie et de la promotion de l'investissement pour hériter d'un département "prospective et statistique". Il est remplacé par une nouvelle figure qui fait son entrée au gouvernement, Mohamed Benmeradi.
Une autre nouvelle figure, Nacer Mehal, jusque-là directeur de l'agence de presse APS, devient ministre de la Communication, en remplacement de Azzedine Mihoubi, "appelé à d'autres fonctions", selon la formule en usage dans le langage politique algérien.
Deux autres ministres, également proches du président, Djamal Ould Abas et Said Barkat, ont permuté pour gérer respectivement les départements de la Santé et de la Solidarité nationale.
Les principaux ministres du gouvernement conservent leurs portefeuilles: Mourad Medelci (Affaires étrangères), Amar Ghoul (Travaux publics), Abdelmalek Sellal (Ressources en eau), Karim Djoudi (Finances) et Boubakeur Benbouzid (Education nationale). AP
xoao1/cb
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