Dans une correspondance adressée au président de la République
L’Observatoire des Droits de l’Homme, de la Fédération internationale des Ligues des Droits de l’Homme (FIDH) a dénoncé ce qu’il a qualifié d’obstacles dressés par le système contre la liberté d’opinion et d’expression en Algérie et contre les regroupements et rassemblements pacifiques. Il a, notamment, dénoncé les méthodes appliquées par ce système, dans ce cadre, notamment la répression et la terreur visant à interdire les meetings.
La Ligue algérienne de défense des Droits de l’Homme a affirmé, dans un communiqué accompagné d’un appel urgent, adressé par l’observatoire des Droits de l’Homme aux autorités algériennes et à leur tête le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, le ministre de l’Intérieur M. Noureddine Yazid Zerhouni ainsi que M. Farouk Ksentini, président de la Commission nationale consultative des Droits de l’Homme et autres personnalités, que l’Observatoire et en association avec l’Organisation internationale contre la torture condamnent la répression exercée sur la liberté des rassemblements pacifiques en Algérie. Cela intervient suite à la répression dont ont fait l’objet les trois journalistes qui se sont regroupés devant le siège de la télévision algérienne, le 3 mai en cours, coïncidant avec la journée mondiale de la liberté d’expression. L’Observatoire national des Droits de l’Homme a, notamment, exigé des autorités algériennes la protection des défenseurs des Droits de l’Homme et d’arrêter toutes les formes de répression contre les militants des Droits de l’Homme et les journalistes. Il a, aussi, appelé au respect des droits garantis par la déclaration universelle des Droits de l’Homme, en conformité totale avec la constitution algérienne.
L’Observatoire des Droits de l’Homme, de la Fédération internationale des Ligues des Droits de l’Homme (FIDH) a dénoncé ce qu’il a qualifié d’obstacles dressés par le système contre la liberté d’opinion et d’expression en Algérie et contre les regroupements et rassemblements pacifiques. Il a, notamment, dénoncé les méthodes appliquées par ce système, dans ce cadre, notamment la répression et la terreur visant à interdire les meetings.
La Ligue algérienne de défense des Droits de l’Homme a affirmé, dans un communiqué accompagné d’un appel urgent, adressé par l’observatoire des Droits de l’Homme aux autorités algériennes et à leur tête le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, le ministre de l’Intérieur M. Noureddine Yazid Zerhouni ainsi que M. Farouk Ksentini, président de la Commission nationale consultative des Droits de l’Homme et autres personnalités, que l’Observatoire et en association avec l’Organisation internationale contre la torture condamnent la répression exercée sur la liberté des rassemblements pacifiques en Algérie. Cela intervient suite à la répression dont ont fait l’objet les trois journalistes qui se sont regroupés devant le siège de la télévision algérienne, le 3 mai en cours, coïncidant avec la journée mondiale de la liberté d’expression. L’Observatoire national des Droits de l’Homme a, notamment, exigé des autorités algériennes la protection des défenseurs des Droits de l’Homme et d’arrêter toutes les formes de répression contre les militants des Droits de l’Homme et les journalistes. Il a, aussi, appelé au respect des droits garantis par la déclaration universelle des Droits de l’Homme, en conformité totale avec la constitution algérienne.
El Khabar
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