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Le massacre du massif forestier de la commune d'Aït Yahia Moussa continue toujours.
Munis de tronçonneuses, des personnes sans scrupules s'attaquent à toutes sortes d'arbres : pins, chênes-lièges et même le sous-bois. “Nombreuses sont les personnes qui ont laissé leurs champs et s'accaparent des terres forestières en défrichant tout sur leur passage”, nous a confié un ex-président du comité de village du côté d'Ath Houalhadj.
“J'ai essayé d'attirer l'attention des citoyens sur ce phénomène qui se développe de plus en plus, en vain”, a-t-il ajouté. Si certaines personnes ne se limitent qu'au greffage de l'oléastre des oliviers sauvages, d'autres utilisent ce bois non seulement pour supports aux constructions, mais aussi à vendre des quantités énormes de bois notamment en cette période hivernale.
“Que reste-t-il au lieudit Amazir (romarins) ? Tout a été saccagé”, nous a expliqué un autre citoyen du même village. En effet, ces braconniers n'ont aucun souci au sujet de cette déforestation. Leur seul but est de gagner de l'argent.
Il faut dire que les services de la Conservation forestière effectuent des sorties inopinées, mais rarement, ils ont réussi à surprendre des personnes en flagrant délit. Des procès-verbaux ont été remplis à l'encontre de nombreuses personnes ayant même construit sur ce patrimoine forestier, mais les peines tardent toujours à tomber afin de dissuader d'autres citoyens de se livrer à la même pratique.
Une maison forestière est inscrite pour cette commune, mais jusqu'à présent, elle est toujours au stade de projet. Car, celle-ci pourra réduire ce massacre en y affectant des agents qui se serviront de la surveillance de ce massif.
D'autre part, sachant que le chef-lieu de commune l'ex-Oued-Ksari n'a plus d'assiettes foncières pour lancer des projets, les élus ont exprimé une demande auprès de la Conservation forestière afin de leur céder vingt-cinq hectares qui accueilleront des édifices publics.
Par Liberté
Munis de tronçonneuses, des personnes sans scrupules s'attaquent à toutes sortes d'arbres : pins, chênes-lièges et même le sous-bois. “Nombreuses sont les personnes qui ont laissé leurs champs et s'accaparent des terres forestières en défrichant tout sur leur passage”, nous a confié un ex-président du comité de village du côté d'Ath Houalhadj.
“J'ai essayé d'attirer l'attention des citoyens sur ce phénomène qui se développe de plus en plus, en vain”, a-t-il ajouté. Si certaines personnes ne se limitent qu'au greffage de l'oléastre des oliviers sauvages, d'autres utilisent ce bois non seulement pour supports aux constructions, mais aussi à vendre des quantités énormes de bois notamment en cette période hivernale.
“Que reste-t-il au lieudit Amazir (romarins) ? Tout a été saccagé”, nous a expliqué un autre citoyen du même village. En effet, ces braconniers n'ont aucun souci au sujet de cette déforestation. Leur seul but est de gagner de l'argent.
Il faut dire que les services de la Conservation forestière effectuent des sorties inopinées, mais rarement, ils ont réussi à surprendre des personnes en flagrant délit. Des procès-verbaux ont été remplis à l'encontre de nombreuses personnes ayant même construit sur ce patrimoine forestier, mais les peines tardent toujours à tomber afin de dissuader d'autres citoyens de se livrer à la même pratique.
Une maison forestière est inscrite pour cette commune, mais jusqu'à présent, elle est toujours au stade de projet. Car, celle-ci pourra réduire ce massacre en y affectant des agents qui se serviront de la surveillance de ce massif.
D'autre part, sachant que le chef-lieu de commune l'ex-Oued-Ksari n'a plus d'assiettes foncières pour lancer des projets, les élus ont exprimé une demande auprès de la Conservation forestière afin de leur céder vingt-cinq hectares qui accueilleront des édifices publics.
Par Liberté