Black-list américaine : Qu’est-ce qui fait courir le régime algérien ?
L’Algérie, en même temps que d’autres pays, comme l’Afghanistan, le Yémen ou le Soudan, a été répertoriée dans la black-list, et donc classée, sans équivoque aucun, parmi les pays à haut risque terroriste. Levée de bouclier dans ce pays, battage médiatique sans précédent, chassé-croisé diplomatique, et menace de "réciprocité" contre la France et les USA.
Mais les raisons de cette agitation sont-ils seulement dictées par un sursaut de dignité ?
Sacrilège et branle-bas de combat ! Les USA et la France ont donc classé l’Algérie dans la liste noire de pays au grand potentiel terroriste. L’Algérie qui avait reçu, pourtant, le titre glorieux de « partenaire privilégié contre le terrorisme international », décerné par les plus hautes autorités américaines. En raison de sa gestion particulièrement vigoureuse de l’islamisme. Une "hommelette" de 200 000 morts, sans compter les "points de détail".
Patriotisme en bandoulière !
L’Algérie officielle a tout aussitôt jeté des cris d’orfraie, jurant ses grands Dieux que c’était une injustice, un geste inamical à son encontre, et une humiliation pour tous les Algériens.
Le Ministre algérien des Affaires étrangères, envoyé daredare aux États Unis pour tenter de raisonner les « amis » américains, fut lui même traité comme le dernier des immigrés afghans, à sa descente d’avion, et il fut soumis aux « procédures corporelles de contrôle » comme n’importe quel ressortissant de pays à risques. Il a eu beau se démener dans tous les sens, rappeler qu’il était le premier diplomate de son pays, et plus encore, agiter l’épouvantail de l’incident diplomatique, il n’en dut pas moins se soumettre à une infamante tracasserie. N’importe quel américain moyennement débile aurait vite compris qu’un ministre des affaires étrangères, même d’Algérie, ne va s’amuser à transporter des bombinettes. Mais les règles étant ce qu’elles sont, et les dirigeants algériens étant considérés comme ce qu’ils sont, le ministre algérien n’eut pas d’autre choix que de s’incliner. Sans plus de réaction algérienne que de pathétiques gesticulations. Et des articles de presse touillés d’indignation hérissée, tambouille ordinaire destinée à la consommation des gogos du cru.
Depuis, le régime algérien qui s’était donc glorifié, en son temps, de titre que lui avaient attribué les Étasuniens, de « partenaire privilégié » contre le terrorisme mondial, ne cessé de remuer ciel et terre pour être sorti, vite fait, de cette fameuse liste. C’est le tir de barrage ! Il faut tout entreprendre, user de tous les moyens, y compris d’œillades sonores aux lobbies qui bouffent en Algérie, pour écarter cette catastrophe. Oui, une véritable catastrophe pour tous les barons du régime. Nous saurons pourquoi !
En Algérie, où il n’est pas très important de trouver des prétextes qui tiennent la route, pour justifier tout ce déploiement de moyens diplomatiques, médiatiques, financiers et de lobbying que le régime déploie avec frénésie, ils sort le grand jeu à ses nationaux : Pourquoi le Maroc n’a pas été listé ? Le Maroc est-il plus sûr que notre pays ? Bien sûr, se répondent-ils eux mêmes, parce que le Maroc est trop docile, alors que nous, nous soutenons les Palestiniens. Ha, ha, haaaaaaaaaa ! Parce que nous soutenons le droit à l’autodétermination du Sahara Occidental ! Parce que nous avons refusé de marcher dans la combine de l’Africom, et que nous n’avons pas accepté leur projet de base américaine au Sahel. Ha, ha, haaaaaaaaa ! Parce que nos positions à l’ONU dérangent les Américains, nous qui soutenons toutes les causes justes. Mais l’Algérie n’acceptera jamais que ses ressortissants soient humiliés dans les aéroports américains et français, comme n’importe quel terroriste. Jamais !
Toutes ces professions de foi s’étalent en grand et en gras sur tous les journaux « indépendants » algériens. Et d’autres encore, comme celle-ci : L’Algérie, attachée aux valeurs de novembre, forgées par le sang des martyrs, et bla bla bla…
Si ce n’était un problème de mode, ils auraient même sorti les fameux slogans des années 70, sur l’impérialisme américain, les ennemis de l’extérieur, la position historique et jalousée de l’Algérie, et bla, bla, bla.
Les dirigeants algériens usent sans vergogne de ces pétarades juste parce qu’ils considèrent les autres algériens comme des simplets prêts à croire n’importe quoi qui flatte un tant soit peu leur ego national, et qui sont même capables de s’enflammer comme des torches, et même de manifester spontanément, si l’ordre en est donné. On a vu ça avec les matchs contre Égypte.
Une information au top…de la désinformation !
Mais ils ne se gênent pas, par ailleurs de recourir à ces prétextes cousus de fil blanc, parce qu’ils savent très bien que la véritable information ne parvient pas à la majorité de leurs « sujets ». 99% des Algériens ne savent pas qu’une base américaine a été construite au Sahara, dans le sillage de l’affaire BRC, et qu’elle a été démantelée en catastrophe parce que le régime a failli imploser. Parce que des officiers de l’Armée algérienne commençaient à gronder, et qu’une affaire de haute trahison était dans l’air. Ils ne savent pas que la Qaida du Maghreb Islamique est une invention d’une aile du DRS avec ses amis américains du Pentagone et de la CIA, qui voulaient créer une tension terroriste internationale dans le Sahel, pour justifier l’installation d’une force américaine dans la région. Non pas en Algérie, mais en plein Sahel.
Le Sahel, qui est le centre du monde géographique, au milieu d’une région pétrolifère et gazière d’envergure, et une place stratégique de choix pour contrer l’implantation de la Chine dans le continent africain utile. Les Américains, excédés par le double discours algérien, ont déclaré, officiellement, par l’entremise d’un général américain, puis par celle de leur Secrétaire d’État, qu’ils ne sont pas intéresses par l’implantation d’une base en Algérie, mais cela n’a pas empêché le régime algérien, et ses porte plume attitrés, de continuer à clamer qu’ils n’acceptera jamais de base américaine dans « son » pays.
Les Algériens sont l’un des peuples les plus manipulés de la planète. Hormis une minorité qui tente de s’informer tant bien que mal, ils ne savent pas que le DRS et d’autres structures de l’armée algérienne ont collaboré très activement avec les américains depuis les années de recrutement djihadiste pour l’Afghanistan, puis lorsque le contexte a changé, qu’ils ont « coopéré » avec les Américains dans le transfert illégal et secret de djihadistes, dans leur « exploitation », c’est-à-dire leur torture, dans des prisons secrètes au sud algérien, mais aussi dans le retournement de militants islamistes, pour infiltrer des mouvements djihadistes internationaux, et leur faire commettre les attentats terroristes que nécessitaient les stratégies américaines. En peu de mots, la majorité des algériens ne sait rien de la concussion du régime algérien avec les services secrets américains, et même israéliens, et avec d’autres forces souterraines qui minent le monde entier.
Les Algériens n’en savent rien, parce qu’il ne viendrait à l’idée d’aucun média, en Algérie, d’envisager de telles enquêtes. Totalement exclu !
La presse algérienne a d’autres missions. Bien plus sages.
L’Algérie, en même temps que d’autres pays, comme l’Afghanistan, le Yémen ou le Soudan, a été répertoriée dans la black-list, et donc classée, sans équivoque aucun, parmi les pays à haut risque terroriste. Levée de bouclier dans ce pays, battage médiatique sans précédent, chassé-croisé diplomatique, et menace de "réciprocité" contre la France et les USA.
Mais les raisons de cette agitation sont-ils seulement dictées par un sursaut de dignité ?
Sacrilège et branle-bas de combat ! Les USA et la France ont donc classé l’Algérie dans la liste noire de pays au grand potentiel terroriste. L’Algérie qui avait reçu, pourtant, le titre glorieux de « partenaire privilégié contre le terrorisme international », décerné par les plus hautes autorités américaines. En raison de sa gestion particulièrement vigoureuse de l’islamisme. Une "hommelette" de 200 000 morts, sans compter les "points de détail".
Patriotisme en bandoulière !
L’Algérie officielle a tout aussitôt jeté des cris d’orfraie, jurant ses grands Dieux que c’était une injustice, un geste inamical à son encontre, et une humiliation pour tous les Algériens.
Le Ministre algérien des Affaires étrangères, envoyé daredare aux États Unis pour tenter de raisonner les « amis » américains, fut lui même traité comme le dernier des immigrés afghans, à sa descente d’avion, et il fut soumis aux « procédures corporelles de contrôle » comme n’importe quel ressortissant de pays à risques. Il a eu beau se démener dans tous les sens, rappeler qu’il était le premier diplomate de son pays, et plus encore, agiter l’épouvantail de l’incident diplomatique, il n’en dut pas moins se soumettre à une infamante tracasserie. N’importe quel américain moyennement débile aurait vite compris qu’un ministre des affaires étrangères, même d’Algérie, ne va s’amuser à transporter des bombinettes. Mais les règles étant ce qu’elles sont, et les dirigeants algériens étant considérés comme ce qu’ils sont, le ministre algérien n’eut pas d’autre choix que de s’incliner. Sans plus de réaction algérienne que de pathétiques gesticulations. Et des articles de presse touillés d’indignation hérissée, tambouille ordinaire destinée à la consommation des gogos du cru.
Depuis, le régime algérien qui s’était donc glorifié, en son temps, de titre que lui avaient attribué les Étasuniens, de « partenaire privilégié » contre le terrorisme mondial, ne cessé de remuer ciel et terre pour être sorti, vite fait, de cette fameuse liste. C’est le tir de barrage ! Il faut tout entreprendre, user de tous les moyens, y compris d’œillades sonores aux lobbies qui bouffent en Algérie, pour écarter cette catastrophe. Oui, une véritable catastrophe pour tous les barons du régime. Nous saurons pourquoi !
En Algérie, où il n’est pas très important de trouver des prétextes qui tiennent la route, pour justifier tout ce déploiement de moyens diplomatiques, médiatiques, financiers et de lobbying que le régime déploie avec frénésie, ils sort le grand jeu à ses nationaux : Pourquoi le Maroc n’a pas été listé ? Le Maroc est-il plus sûr que notre pays ? Bien sûr, se répondent-ils eux mêmes, parce que le Maroc est trop docile, alors que nous, nous soutenons les Palestiniens. Ha, ha, haaaaaaaaaa ! Parce que nous soutenons le droit à l’autodétermination du Sahara Occidental ! Parce que nous avons refusé de marcher dans la combine de l’Africom, et que nous n’avons pas accepté leur projet de base américaine au Sahel. Ha, ha, haaaaaaaaa ! Parce que nos positions à l’ONU dérangent les Américains, nous qui soutenons toutes les causes justes. Mais l’Algérie n’acceptera jamais que ses ressortissants soient humiliés dans les aéroports américains et français, comme n’importe quel terroriste. Jamais !
Toutes ces professions de foi s’étalent en grand et en gras sur tous les journaux « indépendants » algériens. Et d’autres encore, comme celle-ci : L’Algérie, attachée aux valeurs de novembre, forgées par le sang des martyrs, et bla bla bla…
Si ce n’était un problème de mode, ils auraient même sorti les fameux slogans des années 70, sur l’impérialisme américain, les ennemis de l’extérieur, la position historique et jalousée de l’Algérie, et bla, bla, bla.
Les dirigeants algériens usent sans vergogne de ces pétarades juste parce qu’ils considèrent les autres algériens comme des simplets prêts à croire n’importe quoi qui flatte un tant soit peu leur ego national, et qui sont même capables de s’enflammer comme des torches, et même de manifester spontanément, si l’ordre en est donné. On a vu ça avec les matchs contre Égypte.
Une information au top…de la désinformation !
Mais ils ne se gênent pas, par ailleurs de recourir à ces prétextes cousus de fil blanc, parce qu’ils savent très bien que la véritable information ne parvient pas à la majorité de leurs « sujets ». 99% des Algériens ne savent pas qu’une base américaine a été construite au Sahara, dans le sillage de l’affaire BRC, et qu’elle a été démantelée en catastrophe parce que le régime a failli imploser. Parce que des officiers de l’Armée algérienne commençaient à gronder, et qu’une affaire de haute trahison était dans l’air. Ils ne savent pas que la Qaida du Maghreb Islamique est une invention d’une aile du DRS avec ses amis américains du Pentagone et de la CIA, qui voulaient créer une tension terroriste internationale dans le Sahel, pour justifier l’installation d’une force américaine dans la région. Non pas en Algérie, mais en plein Sahel.
Le Sahel, qui est le centre du monde géographique, au milieu d’une région pétrolifère et gazière d’envergure, et une place stratégique de choix pour contrer l’implantation de la Chine dans le continent africain utile. Les Américains, excédés par le double discours algérien, ont déclaré, officiellement, par l’entremise d’un général américain, puis par celle de leur Secrétaire d’État, qu’ils ne sont pas intéresses par l’implantation d’une base en Algérie, mais cela n’a pas empêché le régime algérien, et ses porte plume attitrés, de continuer à clamer qu’ils n’acceptera jamais de base américaine dans « son » pays.
Les Algériens sont l’un des peuples les plus manipulés de la planète. Hormis une minorité qui tente de s’informer tant bien que mal, ils ne savent pas que le DRS et d’autres structures de l’armée algérienne ont collaboré très activement avec les américains depuis les années de recrutement djihadiste pour l’Afghanistan, puis lorsque le contexte a changé, qu’ils ont « coopéré » avec les Américains dans le transfert illégal et secret de djihadistes, dans leur « exploitation », c’est-à-dire leur torture, dans des prisons secrètes au sud algérien, mais aussi dans le retournement de militants islamistes, pour infiltrer des mouvements djihadistes internationaux, et leur faire commettre les attentats terroristes que nécessitaient les stratégies américaines. En peu de mots, la majorité des algériens ne sait rien de la concussion du régime algérien avec les services secrets américains, et même israéliens, et avec d’autres forces souterraines qui minent le monde entier.
Les Algériens n’en savent rien, parce qu’il ne viendrait à l’idée d’aucun média, en Algérie, d’envisager de telles enquêtes. Totalement exclu !
La presse algérienne a d’autres missions. Bien plus sages.
Commentaire