ALGER- Par la voix de son ambassade en France, l'Algérie a décrit de "discriminatoire" la liste des pays "à risque" dressée par Paris.
Selon un communiqué du ministère algérien des Affaires étrangè res publié jeudi, l'ambassadeur d'Algérie en France, Missoum Sbih, a rencontré mercredi le secrétaire général du ministère français des Affaires étrangères et européennes, Pierre Sellal, pour exprimer la position d'Alger sur la décision française d'inscrire l'Algérie sur cette liste induisant un renforcement du contrôle des passagers en provenance des aéroports algériens.
L'ambassadeur d'Algérie a souligné "le caractère discriminatoire de cette mesure intervenue unilatéralement sans consultation ni information préalable de la partie algérienne", indique le communiqué.
"Il n'a pas, en outre, manqué de réitérer la position, déjà exprimée par notre pays à l'attention des autorités françaises, sur le caractère inopportun et injustifié de cette mesure qui porte préjudice aux relations algéro-françaises", conclut le communiqué.
Le 11 janvier, le ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci, avait convoqué l'ambassadeur des Etats-Unis à Alger pour lui exprimer les "vives protestations" du gouvernement algérien suite à la décision prise par les autorités américaines d'inclure les ressortissants algériens dans une liste de pays dont les nationaux seront soumis à des mesures spécifiques de contrôle vers ou à partir des points d'entrée aériens américains.
© Copyright Xinhuanet
Selon un communiqué du ministère algérien des Affaires étrangè res publié jeudi, l'ambassadeur d'Algérie en France, Missoum Sbih, a rencontré mercredi le secrétaire général du ministère français des Affaires étrangères et européennes, Pierre Sellal, pour exprimer la position d'Alger sur la décision française d'inscrire l'Algérie sur cette liste induisant un renforcement du contrôle des passagers en provenance des aéroports algériens.
L'ambassadeur d'Algérie a souligné "le caractère discriminatoire de cette mesure intervenue unilatéralement sans consultation ni information préalable de la partie algérienne", indique le communiqué.
"Il n'a pas, en outre, manqué de réitérer la position, déjà exprimée par notre pays à l'attention des autorités françaises, sur le caractère inopportun et injustifié de cette mesure qui porte préjudice aux relations algéro-françaises", conclut le communiqué.
Le 11 janvier, le ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci, avait convoqué l'ambassadeur des Etats-Unis à Alger pour lui exprimer les "vives protestations" du gouvernement algérien suite à la décision prise par les autorités américaines d'inclure les ressortissants algériens dans une liste de pays dont les nationaux seront soumis à des mesures spécifiques de contrôle vers ou à partir des points d'entrée aériens américains.
© Copyright Xinhuanet
Commentaire