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En raison de la vague de froid qui a sévit en Algérie, la consommation d'énergie a atteint un pic jamais égalé et Sonelgaz lance un appel à une utilisation rationnelle de l'électricité surtout entre 18H et 21 heures afin d'éviter tout risque de coupure.
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Poussée par la vague de froid, la consommation nationale d’électricité a atteint ces derniers jours un niveau exceptionnel, jamais égalé auparavant, de 6 000 mégawatts, selon la Société nationale de l’électricité et du gaz (Sonelgaz).
Pour cette raison, l’entreprise appelle, dans un communiqué rendu public, ses abonnés à une utilisation plus économe de l’énergie électrique et leur rappelle la «nécessité impérative de veiller à rationaliser leur consommation électrique surtout entre 18h et 21h, dans l’intérêt de tous».
Sonelgaz a tout de même tenu à préciser qu’afin de faire face à plus de croissance de la demande électrique, elle a «mobilisé tous les moyens pour satisfaire le marché national dans les meilleures conditions de qualité et de continuité de service».
Toujours dans un souci de performance, le groupe s’est doté dernièrement d’un nouvel instrument favorisant la bonne gouvernance et la transparence. C’est ainsi qu’a été installé, la semaine dernière, le Comité d’audit entreprise et qu’il a été procédé à la signature de la Charte de l’audit interne du groupe.
Le président-directeur général de Sonelgaz, M. Noureddine Bouterfa, a expliqué que cette charte représentera «la feuille de route» de la direction de l’audit du groupe. La charte définit les principales missions de la direction de l’audit ainsi que ses objectifs et ses responsabilités.
M. Bouterfa a ajouté que la volonté du groupe de s’inscrire dans les règles de bonne gouvernance «nous oblige à nous assurer constamment que le contrôle interne est exercé aux différents niveaux et dans les meilleures conditions». La restructuration de Sonelgaz, transformée en groupe industriel, et la filialisation de ses activités constituent une nouvelle forme d’organisation qui «exige de nous des mesures prudentielles et de maîtrise de risque et une grande capacité de suivi et d’orientation».
Le P-DG du groupe a, par ailleurs, souligné que l’installation du nouveau comité audit est devenue nécessaire car «Sonelgaz exerce dans un secteur ouvert à la concurrence, fait appel à l’épargne publique et travaille avec des partenaires internationaux que sont les fournisseurs, les banquiers, les investisseurs et les clients».
De son côté, le ministre de l’Energie et des Mines, M. Chakib Khelil, a soutenu que cet audit «devra permettre d’introduire une transparence et une meilleure gestion de la société à l’instar des groupes internationaux, afin d’atteindre des règles de bonne gouvernance dans son intérêt et celui des citoyens, à travers un approvisionnement en électricité avec un meilleur coût et un meilleur service».
Le comité d’audit, faut-il le préciser, est composé de membres externes désignés par le conseil d’administration. Il est précisé que ses missions seront assurées par des managers de haut niveau. Ses missions consisteront, entre autres, à s’assurer de la pertinence et de la permanence des méthodes adoptées par l’entreprise et à examiner les comptes sociaux semestriels et annuels ainsi que les prévisions et budgets du groupe.
Par le Jeune Indépendant
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Poussée par la vague de froid, la consommation nationale d’électricité a atteint ces derniers jours un niveau exceptionnel, jamais égalé auparavant, de 6 000 mégawatts, selon la Société nationale de l’électricité et du gaz (Sonelgaz).
Pour cette raison, l’entreprise appelle, dans un communiqué rendu public, ses abonnés à une utilisation plus économe de l’énergie électrique et leur rappelle la «nécessité impérative de veiller à rationaliser leur consommation électrique surtout entre 18h et 21h, dans l’intérêt de tous».
Sonelgaz a tout de même tenu à préciser qu’afin de faire face à plus de croissance de la demande électrique, elle a «mobilisé tous les moyens pour satisfaire le marché national dans les meilleures conditions de qualité et de continuité de service».
Toujours dans un souci de performance, le groupe s’est doté dernièrement d’un nouvel instrument favorisant la bonne gouvernance et la transparence. C’est ainsi qu’a été installé, la semaine dernière, le Comité d’audit entreprise et qu’il a été procédé à la signature de la Charte de l’audit interne du groupe.
Le président-directeur général de Sonelgaz, M. Noureddine Bouterfa, a expliqué que cette charte représentera «la feuille de route» de la direction de l’audit du groupe. La charte définit les principales missions de la direction de l’audit ainsi que ses objectifs et ses responsabilités.
M. Bouterfa a ajouté que la volonté du groupe de s’inscrire dans les règles de bonne gouvernance «nous oblige à nous assurer constamment que le contrôle interne est exercé aux différents niveaux et dans les meilleures conditions». La restructuration de Sonelgaz, transformée en groupe industriel, et la filialisation de ses activités constituent une nouvelle forme d’organisation qui «exige de nous des mesures prudentielles et de maîtrise de risque et une grande capacité de suivi et d’orientation».
Le P-DG du groupe a, par ailleurs, souligné que l’installation du nouveau comité audit est devenue nécessaire car «Sonelgaz exerce dans un secteur ouvert à la concurrence, fait appel à l’épargne publique et travaille avec des partenaires internationaux que sont les fournisseurs, les banquiers, les investisseurs et les clients».
De son côté, le ministre de l’Energie et des Mines, M. Chakib Khelil, a soutenu que cet audit «devra permettre d’introduire une transparence et une meilleure gestion de la société à l’instar des groupes internationaux, afin d’atteindre des règles de bonne gouvernance dans son intérêt et celui des citoyens, à travers un approvisionnement en électricité avec un meilleur coût et un meilleur service».
Le comité d’audit, faut-il le préciser, est composé de membres externes désignés par le conseil d’administration. Il est précisé que ses missions seront assurées par des managers de haut niveau. Ses missions consisteront, entre autres, à s’assurer de la pertinence et de la permanence des méthodes adoptées par l’entreprise et à examiner les comptes sociaux semestriels et annuels ainsi que les prévisions et budgets du groupe.
Par le Jeune Indépendant