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Le racisme en Algérie

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  • #16
    Il se pourrait que des algériens soient racistes.......mais à ne pas généraliser.....
    Je deviens paranoïaque pour certains mais en réalité j'ai appris des choses dont je ne soupçonnais guère l'existence.

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    • #17
      ceux que je connais sont des gens pieux qui craignet Dieu! donc il faut arretez de cherccher des excuse comme quoi ils sont des escrots! L escroquerie exiete meme parmi une frange d algeriens vivants á l etranger, ce qui n excuse pas le racisme envers eux, ni en France ni ailleurs!
      Tu es sûr que tu as compris ce que j'ai écris, est-ce qu'à un moment donné j'ai cité une nationalité ?
      Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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      • #18
        Salam

        Je veux juste te dire que les Algériens ne sont pas racistes les thermes que tu Vien de citer noir, kahlouche, negro etc...... Ce sont des surnoms qu'on donne aux noirs et sans aucun sentiment de racisme.
        Moi personnellement j'ai des voisins noir Algérien et se sont des bons voisins et de bons amis et sache que je l'appelle Ya negro ou bien negreto et eux m'appelé le Lait (Hlib) et sans aucune arrière pensé et on vie El hamdoullah comme des frères même plus que des frères.
        et y'a aussi des africains de Mali qui se sont installé a notre cartier ils bossent comme des cordonniers, a force de les connaitre l'un d'eux aussi je l'appelle Kahlouche et je ne te cache pas qu'il vaut mieux que 1000 Algériens blancs si tu veux.
        pour les Africains qui se sont installé en toute illégalité qu'ils n'ont aucun papier le gouvernement a séré le râteau dans tous les sens, d'une part pour l'immigration clandestine et sache que l'Algérie ce n'est qu'un pays de transite, et dernièrement avec les panaf africain ils ont recensé plus de 100 africain qui se sont installé en toute illégalité et d'autre part pour leur trafique ils sont connu pour leur et falsification des papiers et l'argent contrefait et plus grave le trafique de drogue dur
        Science sans conscience ce n'est que ruine de l'âme

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        • #19
          Je veux juste te dire que les Algériens ne sont pas racistes les thermes que tu Vien de citer noir, kahlouche, negro etc...... Ce sont des surnoms qu'on donne aux noirs et sans aucun sentiment de racisme.
          pour les surnoms comm tu dis c est vrai, bien que negre reste une appelation pejorative!

          l article cite par contre des exemples bien preciss de ce racisme quotidien !

          d une maniere general, les algerien sont un peuple genereux, serviable et pas du tout raciste, je ne comprends pas comment ce racisme d apres le journal s est introduit dans les mentalite???

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          • #20
            Les algériens seraient-ils racistes ?
            -Premièrement ce journaliste s est gouré de généraliser ( s il y a eu des cas avec des trafiquants et des charlatans )
            avant d ecrire cette accusation gratuite , normalement devait faire une étude sur le comportement des algeriens envers les immigrés sub -sahariens et les habitants du sud algériens ( de couleur )

            -Secundo ,il ne connaît pas le Sud algerien …
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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            • #21
              Un Sénégalais abonde dans le même sens : je suis passé l'autre soir dans une ruelle, il y avait dans un coin un groupe d'adolescents. J'ai dit salam alikoum. Personne n'a daigné me rendre mon salut et certains me l'ont rendu avec des pierres.
              Ihoud hado.

              Ils sont musulmans comme nous, et meme mieux que nous parfois !

              7chouma, ce sont nos fréres !

              Commentaire


              • #22
                Ihoud hado.

                Ils sont musulmans comme nous, et meme mieux que nous parfois !

                7chouma, ce sont nos fréres !
                T'emballes pas!!!
                Tu profites de tout pour debiter tes insultes.
                Il existe le meme phenomene au plusbopaysdumonde; C'est meme pire qu'ailleurs

                Les Marocains racistes des Noirs. Au Maroc, comme dans le reste du Maghreb, le peuple noir est depuis toujours victime de discriminations. Persécutions, agressions, insultes, injures... sont le lot quotidien des hommes de couleur. [...]

                Un comportement raciste différent
                Selon Pierre Vermeren, historien spécialiste des sociétés maghrébines, il faut différencier le degré de racisme envers un Noir marocain et un Noir étranger. « Il existe différentes catégories de Noirs au Maroc. La première concerne les populations noires endogènes qui sont mélangées à la population marocaine et qui descendent tout droit des esclaves. La deuxième, est celle des populations noires du Sud. Elles se concentrent dans des oasis entièrement peuplées d’Africains noirs, mais qui ne sont, en aucun cas, mélangées aux Berbères ou aux Arabes. La troisième, touche les Africains du Sénégal majoritairement, qui venaient faire leur pèlerinage dans la médina de Fès. Enfin, la dernière catégorie, les étudiants et les migrants est celle qui est la plus touchée par le racisme. »
                Pour la plupart des Marocains, le jugement anti-négritude se répercute à travers leurs comportements face aux étrangers noirs non intégrés à la population d’une part, et (ou) non musulmans d’autre part. Il s’agirait d’un profond sentiment de supériorité qui remonterait à l’antiquité. Les Noirs esclaves au Maroc, se comptaient en centaines de milliers à l’époque. Ils constituaient pour certains le corps militaire marocain, la garde civile, tandis que d’autres remplissaient des taches qu’on leur attribuait sous le règne d’Ahmed El Mansour Eddahbi ou encore de Moulay Ismail au 16e et 17e siècle.
                Aujourd’hui, « l’esclavage n’a jamais été aboli officiellement. Le protectorat français, au début du 20e siècle, en a simplement interdit la pratique. Mais l’initiative n’est jamais venue de la société marocaine elle-même », rapporte l’historien qui nous renvoie à l’ouvrage de Mohammed Ennaji, Soldats, esclaves et concubines qui, selon lui, illustre parfaitement cette période.
                "Il est rare qu’une Marocaine épouse un Noir"
                Pour Nadia, une Marocaine âgée de cinquante ans, il ne s’agit pas simplement d’un problème racial. « C’est plus profond que ça. C’est un sentiment qui s’est perpétué de génération en génération. Il est extrêmement rare, par exemple, qu’une Marocaine épouse un Noir, même musulman. Cela ne se fait pas. Le seul cas qui soit, à la rigueur, ‘toléré’, est lorsque l’homme n’a pas les traits trop négroïdes. On craint le fameux ‘qu’en dira-t-on’ de la famille et/ou de l’entourage. La femme en question entendra souvent sa mère ou une proche lui dire qu’il y a ‘suffisamment de bons Marocains pour ne pas aller chercher un Noir’ ».
                Selon les dires de Nadia, ce sentiment serait monnaie courante au Maroc, et partout ailleurs au Maghreb. « Même pour un homme, qui en générale est plus ‘libre’ puisque c’est lui qui transmet son nom et sa religion à ses enfants, épouser une femme de couleur,n’est pas accepté par son entourage. Et c’est encore plus difficile quand il ne s’agit pas d’un ou d’une non musulman. Les mariages mixtes sont déjà très rares dans notre culture, alors avec des Noirs non marocains, non musulmans, ça n’est jamais accepté. Que ce soit pour ma génération, la génération de mon père ou celle de mes enfants. »
                Etre Noirs au Maroc : le cauchemar des étudiants et des immigrants
                « Le racisme le plus violent s’exprime à l’égard des étudiants noirs. A la cité Internationale Universitaire de Rabat, c’est assez visible. Les étudiants qui viennent de part et d’autre du continent africain pour suivre leurs études, sont regroupés entre eux, voir isolés. Ils ne partagent pas les mêmes locaux que les étudiants ‘blancs’ marocains. C’est très communautaire », rapporte Hervé Baldagai, Secrétaire Général de la CESAM (Confédération des élèves, étudiants et stagiaires africains étrangers au Maroc).
                « Les conditions pour les Noirs sont très difficiles, les insultes sont régulières. On nous traite en arabe de ‘sales nègres’, on nous ordonne de quitter le pays, on nous traite de ‘porteurs du Sida’, on nous lance des pierres. C’est invivable. Nous rencontrons des difficultés dans les administrations, comme pour l’obtention de la carte étudiante ou encore pour la Bourse.
                [...]
                « En général, nous ne nous expliquons pas l’attitude de certains Marocains. Je trouve pour ma part que certains facteurs doivent être pris en considération. Le premier est religieux. Les Noirs musulmans sont moins persécutés que les Noirs chrétiens ou animistes. Le deuxième facteur est dû à une méconnaissance culturelle. Les média marocains montrent toujours des aspects négatifs de l’Afrique subsaharienne (le Sida, les guerres...), et les Marocains finissent par avoir peur de nous et donc nous rejettent. Troisième mise en cause : l’éducation. Il est courant aussi d’entendre des enfants ou des adultes traiter ces personnes de « hartani » (homme de second rang) ou de aazi (nègre). Les jeunes enfants nous insultent devant leurs parents sans que ces derniers ne les corrigent ou ne les grondent. Enfin, il existe, à mon avis, une dernière raison. Elle est politique. Depuis 1984, le Maroc ne fait plus parti de l’Union africaine. Ce retrait s’explique du fait que certains pays africains, comme le Cameroun ou l’Afrique du Sud, ont remis en cause la souveraineté du Maroc sur le Sahara Occidentale », souligne le Secrétaire Général de la CESAM.
                "Un Noir non musulman est regardé différemment d’un Noir musulman"
                Etudiant Congolais à l’ESM de Rabat (Ecole Supérieur de Management), Parfait M’Benzé Mouanou suit actuellement un Master en management logistique et ingénierie des transports. Cela fait déjà un an et demi qu’il étudie au Maroc. Aujourd’hui, il témoigne. « Les Congolais n’ont pas besoin de visa pour aller au Maroc. Seul le passeport nous est demandé. Par contre, nous devons donner près de 500 euros de dessous de table à l’aéroport sous peine de se faire expulser du territoire. A part ça, mon intégration se passe bien. Mais je dois avouer que j’ai voulu repartir dès mon premier jour ici. Cela ne se passait pas vraiment comme je l’espérais. Au Maroc, on accepte mal la différence culturelle et religieuse. Un Noir non musulman est regardé différemment d’un Noir musulman par exemple. Pareil pour un Noir marocain et un Noir étranger. J’ai vécu en France 15 ans, je suis également allé en Côte d’Ivoire, au Togo et dans beaucoup d’autres pays. Et je peux dire que l’intégration n’est pas la même ici (...) Nous ne sommes pas si nombreux que ça au Maroc, mais les Marocains nous en veulent, car il y a déjà pas mal de chômage dans le pays et ils n’acceptent pas que nous puissions prendre ’leurs’ emplois. A la fin de mes études, je retournerai au Congo. Je ne me vois pas faire carrière ici. Vous savez, il fut un temps où les étudiants d’Afrique noire allaient suivre leurs études en Côte d’Ivoire ou au Togo. Ce sont des pays plus proches de nous culturellement. Mais avec les troubles dans ces deux pays, nous venons désormais au Maroc et c’est bien différent. Je tiens toutefois à souligner qu’il ne faut pas généraliser. Le Maroc reste un beau pays, très ouvert sur certains points. Des personnes nous ont très bien reçus, très bien accueillis. C’est vraiment ces personnes-là qui font la fierté du pays », souligne le jeune étudiant. A coté de lui, un jeune Béninois, qui a souhaité garder l’anonymat, nous confie, quant à lui, que les insultes font partie de son lot quotidien.
                Une timide prise de conscience
                Aujourd’hui les langues se délient. Le sujet reste cependant très tabou au Maroc, pays qui fait de l’hospitalité un atout culturel. Depuis la parution de l’article de Maria Daif, dans le journal marocain Telquel, il y a une légère prise de conscience. Amel Abou El Aazm, est une des fondatrices de la jeune association Lawnouna (« Nos couleurs »), créée en 2004 et située à Rabat. Le but de cette association est de faire le pont entre les Marocains et les Noirs ou les personnes venant d’horizons diverses. Selon elle, « la discrimination dont sont victimes les Subsahariens et les Noirs est un fait. C’est assez dur pour eux. Personne ne peut nier qu’il existe du racisme au Maroc, ceux qui le nient font preuve de mauvaise fois. Mais il faut tout de même admettre qu’il existe dans notre pays des Subsahariens qui vivent très bien. Ils ont compris qu’il fallait avoir une certaine attitude à adopter pour s’intégrer, notamment se mêler à la population. Il y a un premier pas à faire, pour s’adapter et découvrir la culture de l’autre et la société dans laquelle on vit. Il s’agit peut être d’un petit nombre, mais ça prouve qu’il y a un moyen pour que cela se développe. Et c’est le but de notre association. Elle peut aider les personnes noires à franchir les barrières qu’elles peuvent rencontrer. S’il faut, par exemple, 4 à 5 ans à un étudiant pour s’intégrer au Maroc, Lawnouna, veut, au travers diverses activités, accélérer cette intégration ».
                « Le racisme est plus visible dans la rue. Je ne pense pas qu’il y ait un seul Noirs au Maroc, qui puissent sortir sans qu’on lui rappelle justement qu’il est Noir. Les clichés et les préjugés ont été nombreux sur le peuple noir. Il fut un temps où certains les prenaient pour des cannibales, des mangeurs d’hommes. Il y a aussi le fait qu’il soit des descendants d’esclaves. Mais vous savez, j’ai moi-même passé quelque temps au Congo, j’ai aussi déjà séjourné au Mali. J’ai dû là-bas dépasser les clichés et les préjugés qui m’étaient attribués. En tant que Franco-marocaine, au Mali comme au Congo, je passais inévitablement par l’expérience du ‘blanc en Afrique’. Ce sont des sentiments ancrés dans les moeurs, comme au Maroc, ajoute la jeune femme.
                [...]

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                • #23
                  Le racisme ?
                  Comme je l'ai écrit ailleurs, c'est un état de fait à travers la planète, il faut l'admettre.
                  S'il y a un certain pourcentage des humains qui admet ètre raciste, re reste tombe dans le choix de mentir.

                  Une chose est sure: Si les migrations millénaires n'ont pas eu lieu, si chaque peuple était resté dans son coin, il n'y aurait peut ètre pas de racisme sur la planète:
                  Les chose étant ce qu'elle sont, le racisme est plabétaire... et il ne tient mème pas compte de la couleur de la peau!
                  L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

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                  • #24
                    chercher le lieu...

                    ...d'où vient ou d'où provient le "racisme", comme ce mot l'indique il figure au sommet de sa position élémentaire ou initiale ( race ),... si une différence raciale se vient à exister, pour quelle(s) raison(s) occupent-elles au sommet les parts "négatives " pourvues à chaque identité... les conséquences étant nombreuses et l'utilité in-élevée, beaucoup se ferait bien d'apprendre toutes les races du "monde" comme savoir s'identifier d'une belle ou autre "histoire" racine...hassan...salam, merci...
                    ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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                    • #25
                      T'emballes pas!!!
                      Tu profites de tout pour debiter tes insultes.
                      Il existe le meme phenomene au plusbopaysdumonde; C'est meme pire qu'ailleurs
                      Et tu crois que parce que c'est des marocains que je vais les défendre ?
                      Ces marocains sont aussi des ihoud, les noirs sont nos fréres surtout les musulmans, ils ont la meme religion que nous, pour ceux que je connais au bled et que je frequente c'est des gens vraiment trés gentil, musulmans ou pas.


                      ps: Quand on est jaloux faut pas le montrer, plusbopaysdumonde et fier de l'etre

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                      • #26
                        ...notre religion ns interdit...
                        Hélas, les gens choisissent ce qui leur plait. De préférence les signes visibles.
                        Des algériens racistes, y'en a beaucoup trop. Combien de fois je les ai entendu faire des commentaires racistes ! Je me suis d'ailleurs pris la tête avec certains d'entre eux. Je les zappe !
                        Je préfère cotoyer de nombreux amis africains que certains algériens stupides, ignorants, racistes, intolérants. Ils ont souvent le même profil d'ailleurs ! Il y a celui qui se prend pour un italien. Il y a le fissiste qui a pour devise "Faites ce que je dis mais pas ce que je fais"... le type de gars qui enferme sa femme dans une cage et qui va en mater d'autres comme un kleb ! Enfin, il y a l'ignorant pour qui, c'est cause perdu. Un hmar restera un hmar !
                        La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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                        • #27
                          Les maghrebins ne sont pas les seuls a etre raciste, les africains noirs le sont aussi et c'est une HONTE !
                          La Preuve en images


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                          • #28
                            Bonjour

                            C'est de la transposition, de la provocation journalistique de bas étages !


                            Pas plus "racistes" que les autres humains de cette planète. Le rejet de l'autre (car c'est bien de cela qu'il est question) n'est pas inhérent à une nationalité, à une appartenance "nationale"mais à la nature sociale de individu.

                            Les mécanismes psychologiques de la peur de l'autre sont un peu plus complexes qu'une simple déclaration " un tel pays est plus raciste que d'autre"

                            Les statistiques essayent depuis des années de se saisir de ce phénomène "humain" afin de l'objectiver de façon quantitative, or il s'agit plus d'une problématique qui exige des approches compréhensives, afin de mettre en lumière les mécanismes de "défenses" (à tort ou à raison) qui se mettent en place.

                            Donc au lieu de généraliser et d'y aller à la pelleteuse, et au rouleau compresseur, le mieux serait d'exposer les faits tels qu'ils sont et non pas tels qu'ils devraient êtres selon des idéaux déconnectés !

                            L'être humain est socialement modelé, en dehors de SON monde, il est perdu, il doit tout se réapproprié à nouveau, ce qui remet en cause, momentanément sa grille de lecture.

                            Les situations nouvelles, l'arrivée d'un vis à vis qui n'agit pas comme lui, ou son arrivée dans un milieu qui n'interagit pas avec lui, déclenche une curiosité, voire une peur !

                            Et ça est valide pour tout être humain !


                            Donc au lieu de nous abreuver de titre pompeux et textes bateaux, nos chers journaleux feraient mieux de lire des manuels de base de la sociopsychologie !

                            Je n'ai pas pris connaissance des commentaires des intervenants, je sais juste qu'il y a quelques années en France, un grand titre s'est permis de titrer " Les Français seraient-ils racistes" après un sondage suggestif " Préférez vous, les noirs, les asiatiques ou les X (sic)" (je ne me souviens pas de la suite).


                            L'opinion est malléable, on en fait ce qu'on veut lors d'une enquête (pseudo)



                            A plus forte raison que la grandeur de ces pseudos enquêtes reste à échelle représentative, donc ne valent que de manière spatiotemporelle (Temps T et périmètre P)



                            Sujet très délicat à prendre avec beaucoup de prudence.





                            ../..
                            Dernière modification par l'imprevisible, 20 septembre 2009, 05h36.
                            “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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                            • #29
                              Les algériens seraient-ils racistes ?

                              bien sur que oui.............le racisme n'a pas de couleur...............ni de frontiere..........
                              on fait avec..........

                              Commentaire


                              • #30
                                Les algériens seraient-ils racistes ?
                                bien sur que oui.............le racisme n'a pas de couleur...............ni de frontiere..........
                                Sans aucune exception ?
                                Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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