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  • #31
    salam accpluscan

    Desole, mas, mais tu ne trouveras aucune source pour argumenter ces ratios. Je ne sais pas qd, mais le dinar (Change officiel, on s'entend) etait plus cher que le FF. Par contre, dire avec mecanisme monetaire ? je ne pourrais te repondre
    tu ne peux pas trouver accpluscan parce que officiellement boumedienne n'avait pas autorisé cette operation boursiere , il n'avait pas autorisé cette cotation du dinars en bourse , cependant au marché noir on l'echanger

    si j'ai avancé de tel propos c'est qu'on l'avait fait à l'époque au taux que j'ai ennoncé ,des kabyles qui nous avez sollicité pour construire leur villa à oran , et celui qui avait changé devait aller se faire soigner en france, l'opération arrangeait les deux parties je ne parle que de ce que je sais ou ce que j'ai fais , lorsque j'ignore un sujet je lis mais je n'interviens pas , et puisque certains semble mettre notre parole en doute le dinars se negocier bien dans les banques suisse

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    • #32
      LECTURE RECOMMANDÉE pour ceux qui questionnent ce que nous avançons
      Les instruments de couverture du risque de change
      par Fouad BERRA
      Ecole superieure de banque Alger
      Traductions: Original: fr Source:
      précédent sommaire suivant

      Section 1 : Le régime de change et le marché des changes
      Le régime de change en Algérie est passé par plusieurs étapes suivant l'évolution du SMI. Ainsi, depuis l'indépendance le régime de change a connu quatre étapes importantes qui se sont soldées par la mise en place d'un marché des changes.

      Dans cette section, nous allons tenter de détecter la naissance du risque de change à la lumière de l'évolution du régime de change tout en axant notre développement sur l'expérience du change à terme et le marché des changes.

      1. Evolution du régime de change en Algérie

      La situation économique en Algérie a toujours expliqué l'évolution du régime de change. Jusqu'à 1964, l'Algérie faisait partie de la Zone Franc ; la libre circulation des capitaux a été de ce fait assurée.

      En 1963, l'Etat algérien s'est vu dans l'obligation d'instaurer le contrôle des changes afin de freiner l'hémorragie des capitaux causant la baisse des réserves de change.

      Le Dinar algérien fut créé en 1964, vu la loi 64-111 du 10 avril 1964 instituant l'unité monétaire nationale. Jusqu'à 1973, le Dinar algérien était ancré à une monnaie unique, à savoir le Franc français. Il était émis à parité égale avec le franc (1 DZD = 1 FRF = 180 milligrammes d'or). Sa valeur par rapport au Dollar était de 4,94 de 1964 jusqu'à 1970 avant de passer à 4,19 en 1973.
      Avec l'effondrement du régime de Bretton Woods, l'Algérie avait adopté en 1974 le régime de change fixe ancré à un panier de 14 monnaies constituant les devises les plus importantes dans la structure des échanges commerciaux (notamment les importations) et financiers. Ces monnaies étaient affectées de coefficients de pondération différents et révisables périodiquement.

      Le taux de change varie en fonction de l'évolution des monnaies du panier, notamment le Dollar dont le coefficient de pondération est le plus élevé.

      La surévaluation du Dinar était l'une des conséquences néfastes découlant de ce régime. Ce problème n'est cependant sérieusement posé qu'en 1986, date coïncidant avec le contre choc pétrolier qui a fait baisser les recettes pétrolières. L'Algérie enregistre ainsi une détérioration du solde de la balance des paiements en plus du resserrement des marchés de capitaux.

      Le contrôle des changes, qui restait le seul moyen susceptible d'assurer la convergence de la demande des devises avec l'offre rare, avait maintenu une dichotomie entre la sphère réelle et la sphère financière (taux de change surévalué).

      La nécessité des réformes économiques et monétaires s'imposait. Concernant le change, un glissement progressif du Dinar a été enregistré pendant la période de 1986 à 1990 ; le cours USD/DZD est passé de 4,82 à 12,191, soit une dépréciation de l'ordre de 153 %. C'est ainsi qu'est apparu le phénomène de risque de change en Algérie.

      L'Etat algérien avait pris conscience que la modification de la parité du Dinar ne serait fructueuse qu'en l'accompagnant de réformes économiques. Dans ce contexte, l'Algérie a fait appel au Fonds Monétaire International (FMI) pour la signature de deux accords de confirmation, le premier est conclu le 30 mai 1989 et le second le 03 juin 1991.

      Cette période représentait le début d'un passage d'une gestion administrée du taux de change à une gestion dynamique.

      En effet, en septembre 1991, les autorités monétaires procèdent à la dévaluation du Dinar algérien de 22 % contre le Dollar américain. Cette décision a été accompagnée par d'autres mesures afin de permettre au pays de s'ouvrir sur le commerce extérieur et donc mettre fin aux systèmes des licences d'importation et d'exportation.

      Une seconde dévaluation de 40,17 % est initiée en 1994. Cette action agréée par le FMI dans le cadre du programme de stabilisation de mai 1994 à mai 1995 et du programme d'ajustement structurel de mai 1995 à mai 1998 fut le point de départ d'une convertibilité commerciale du Dinar et de la libéralisation du commerce extérieur et du régime de change. Il est à signaler que cette période a été marquée par la mise en place d'un procédé de couverture d'un risque de change de plus en plus confirmé, et cela à travers l'achat à terme de devises avec décaissement à échéance puis avec décaissement immédiat en octobre 1991 et avril 1993 respectivement. La Banque d'Algérie a été amenée à l'abandonner en avril 1994.

      1 Statistiques financières internationales, FMI.

      C'est aussi en cette période que le système de fixing fut instauré1. Il consiste à déterminer la parité de la monnaie nationale par rapport aux monnaies étrangères par adjudication.

      Les banques commerciales, sous l'autorité de la Banque d'Algérie, se réunissaient quotidiennement au siège de la Banque Centrale. Le cours du Dinar est fixé officiellement en confrontant l'offre unique de la Banque d'Algérie et la demande de devises des banques commerciales.

      Actuellement, et ce depuis 1995, année coïncidant avec la création du marché interbancaire des changes, la valeur du Dinar est déterminée par le «libre» jeu de l'offre et de la demande. La Banque d'Algérie joue un rôle important en tant qu'offreur de devises sur ce marché2. Le risque de change est désormais une réalité incontournable.

      Compte tenu de l'évolution du régime de change, le Dinar a connu une dépréciation remarquable depuis l'année 1986 (correspondant au contre choc pétrolier). Il est passé depuis cette date à 2002 de 4,82 à 79,92 , soit une «dépréciation» de 1558 % .
      Dernière modification par Avucic, 09 septembre 2009, 06h17.
      L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

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      • #33
        Salam

        La nécessité des réformes économiques et monétaires s'imposait. Concernant le change, un glissement progressif du Dinar a été enregistré pendant la période de 1986 à 1990 ; le cours USD/DZD est passé de 4,82 à 12,191, soit une dépréciation de l'ordre de 153 %. C'est ainsi qu'est apparu le phénomène de risque de change en Algérie.
        et certains continue a nier l'evidence et defendre chadli corps et ames, alors que khalaha wa draha , la fahama , la quaraya , et on continue a faire l'eloge et les merites d'un personnage qui a laissé s'installait la corruption , l'injustice, l'ignorance enfin ......

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        • #34
          et certains continue a nier l'evidence et defendre chadli corps et ames, alors que khalaha wa draha , la fahama , la quaraya , et on continue a faire l'eloge et les merites d'un personnage qui a laissé s'installait la corruption , l'injustice, l'ignorance enfin ......


          sans compter tous les morts qu'il a laissé lors des manifestations avant de partir.

          avec tout çà on le défend encore.

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          • #35
            témoin

            bonsoir chemseddine,
            afin de conforter beaucoup de chose de ce que vous dites je vous informe que je suis une personne qui est un cadre d'entreprise que son sérieux lui a valu un licenciement et qui traine actuellement devant une juridiction pour étre réhabiliter dans ses droits.
            Cependant puisque vous parlez de ces diplomés qui déchargent des camions de briques et de ciment.ET je vous conforte que moi j'exerce comme chef de projet dans une entreprise de construction publique j'ai trouvé méme des problèmes à promouvoir des DEUA en gestion informatique et des CMTC en comptabilité à des postes inferieurs méme à leur bagage la personne DEUA EN INFORMATIQUE que j'ai voulu promouvoir au poste de chef d'atelier ferraillage classé à la catégorie 10 a trouvé opposition au niveau du département personnel parcequ'il n'a pas de certificat de travail de ferrailleur et quand il a fait un effort au chantier en apprenant le ferraillage où il réalisait un rendement de 400 étriers(cadres de ferraille) on a pas voulu le faire passer à la catégorie de ferrailleur où il est toujours maintenu au poste de manoeuvre à la catégorie 6.
            Le second ayant le CMTC en comptabilité il a commencé à éxercer comme manoeuvre et quand j'ai appris qu'il a un diplome en comptabilité je l'ai installé comme magasinier de chantier et quand il a commencé a demander sa régularisation comme magasinier on ne lui a pas renouvelé le contrat tout en restant toujours manoeuvre.actuellement il est à NAFTAL.
            Vous saviez pourquoi parceque l'entreprise où je travaille rare sont ceux qui sont à leur place d'ailleurs au niveau de notre département du personnel nous n'avons aucune personne ayant fait les études supérieures le chef de département n'a que le niveau moyen et comment voulez-vous qu'on accepte de promouvoir la science et la téchnologie dans une entreprise pareille d'ailleurs j'ai payé de ma peau parceque j'ai voulu apporter du nouveau mais il parait que je me suis trompé . Cependant je ne regrète rien à partir du moment qu'il vaut mieu participer et résister que de déclarer forfait.Quand au cadres qui font le bonheur des autres pays je leur souhaite qu'il ne perdent pas espoir de regagner un jour le pays et de nous perfectionner par leur expérience comme dette parceque nous sommes entrain de leur préparer le terrain.

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            • #36
              Parmi ces cadres qui ont brillé par leur réussite à l’étranger, on peut citer Hamid Aït Abderrahim, professeur à l’université catholique de Louvain, en Belgique, qui est également le directeur de l’Institut des systèmes nucléaires avancés au Centre de l’énergie nucléaire du même pays ; Ahmed Chenna, responsable d’un laboratoire de médecine à San Francisco, Sid-Ahmed Benraouane, responsable du département stratégie managériale et organisation à l’université du Minnesota (USA) et Mourad Ouazi, consultant à Wall Street. Quant à la réussite la plus fabuleuse, c’est bien celle du Dr Elias Zerhouni, ex-directeur des Instituts nationaux de santé (NIH Etats-Unis), et qui vient d’être nommé au poste de conseiller scientifique au laboratoire français Sanofi-Aventis … et la liste est encore longue.
              il y a même pas un mois sur ce forum, un intervenant, m'a tué de rire et dont le ridicule n'étouffait pas en disant un truc du genre, un jour un suisse est venu en algerie, un pays qui lui echappait completement, quitte à ne savoir où et comment traverser la rue, est alors apparu un autre homme, le pris par le bras et lui a montré comment traverser la rue ! tant que les sbires de ben-bella et chadli pensent de la sorte le pays est voué a rester un petit état qui vit sous l'ombre du petrole et proteger par la france bien veillante, le jour où le pays sera confronter à de vrais menaces - pas le genre des clochards qui courent dans les bois - genre israel menace directement le pays, ce jour là ces debilisants seront balayés et le pays aura obligatoirement recours aux vrais competences, aux vrais algeriens, ceux qui travaillent et qui en ont dans la tête ! benbellistes de services, priez dieu qu'israel ne regarde pas vers vous, priez dieu !

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