Bonsoir, aprés le projet ALSAT, qui a l'ambition de la conception, la fabrication et l'exploitation scientifique d'un microsatellite, sous l’égide du Centre National des Techniques Spatiales (CNTS) dont l’Algérie s'est dotée; qui a pour mission d'assurer la formation graduée et post-graduee dans les domaines relatifs a la géodésie, la topographie, la photogrammetrie et la cartographie et qui entreprend plusieurs projets de recherche, inspirés du programme spatial adopte par le Gouvernement, l'Algérie passe à la vitesse supérieure et se lance dans l'étude et la conception d'un satellite géostationaire.
Un séminaire sur les télécommunications spatiales, organisé par l’Agence spatiale algérienne (Asal), a été inauguré, hier, au Cercle national de l’armée, à Beni Messous (Alger), en présence de Boudjemaâ Haïchour, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication.
Ce séminaire est une des recommandations d’un groupe de travail mis en place par l’Asal, qui réfléchit sur la réalisation d’un satellite de télécommunication spatiale compte tenu des besoins et des spécificités de l’Algérie et des impératifs économiques, politiques et stratégiques. Après plusieurs séances, il est arrivé à la conclusion qu’il était absolument opportun que notre pays possède son propre satellite de télécommunications. Les raisons sont multiples, essentiellement socioéconomiques et géographiques. Nous disposons d’un pays vaste (2,4 millions de km2), composé d’une grande partie de zones non habitées et géographiquement hostiles (le désert avec ses particularités, absence de routes dans certaines localités frontalières). Le satellite ignore tous ces handicaps.
Pourquoi l’Algérie s’intéresse au satellite géostationnaire ? « Il est à 36 000 km de la surface de la Terre et même s’il semble fixe, il ne l’est pas. Il tourne à une vitesse synchrone et angulaire que la Terre, et c’est un avantage, car à tout moment, le satellite couvre l’Algérie de manière totale et peut accéder à tout point du territoire national », explique Mahieddine Ouhadj, directeur d’études au ministère de la Poste.
La suite...
Un séminaire sur les télécommunications spatiales, organisé par l’Agence spatiale algérienne (Asal), a été inauguré, hier, au Cercle national de l’armée, à Beni Messous (Alger), en présence de Boudjemaâ Haïchour, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication.
Ce séminaire est une des recommandations d’un groupe de travail mis en place par l’Asal, qui réfléchit sur la réalisation d’un satellite de télécommunication spatiale compte tenu des besoins et des spécificités de l’Algérie et des impératifs économiques, politiques et stratégiques. Après plusieurs séances, il est arrivé à la conclusion qu’il était absolument opportun que notre pays possède son propre satellite de télécommunications. Les raisons sont multiples, essentiellement socioéconomiques et géographiques. Nous disposons d’un pays vaste (2,4 millions de km2), composé d’une grande partie de zones non habitées et géographiquement hostiles (le désert avec ses particularités, absence de routes dans certaines localités frontalières). Le satellite ignore tous ces handicaps.
Pourquoi l’Algérie s’intéresse au satellite géostationnaire ? « Il est à 36 000 km de la surface de la Terre et même s’il semble fixe, il ne l’est pas. Il tourne à une vitesse synchrone et angulaire que la Terre, et c’est un avantage, car à tout moment, le satellite couvre l’Algérie de manière totale et peut accéder à tout point du territoire national », explique Mahieddine Ouhadj, directeur d’études au ministère de la Poste.
La suite...
Commentaire