Le nouveau rapport de l’IDE estime qu’Alger est désormais une capitale solvable et sans risque particulier.
Bonjour, l’Algerie a le meme classement pour les risques a court terme que le Maroc et la Tunisie, pour le long terme, le Maroc et la Tunisie sont classés en risque modéré avec des notes de 43 et 41,2, par contre, l’Algérie est classée en risque élevé avec une note de 32,8 et la je ne suis pas tout a fait d’accord avec le dernier numéro de Risques internationaux, car la tempete est deja passé 2 fois en Algerie et statistiquement une 3 revolutions est impossible dans ce pays, par contre en Tunisie et au Maroc...
Le dernier numéro de Risques internationaux, une revue française spécialisée aux «risques pays» vient de publier une nouvelle liste dans laquelle l’Algérie gagne plusieurs points et se place désormais comme un pays au bilan modéré et au faible risque d’insolvabilité.
La revue spécialisée, très prisée par les investisseurs privés, aussi bien français qu’européens, au même titre que la Coface, prend en ligne de compte les événements politiques, économiques et sociaux qui ont secoué le pays durant les derniers douze mois. Le risque est considéré également modéré tant sur le court terme que le long terme. Tel est le jugement porté sur l’Algérie pour l’exercice 2006, dans le dernier numéro de Risques internationaux, évaluant les «risques pays» pour l’Afrique, le Moyen-Orient, l’Asie, l’Europe de l’Est et l’Amérique latine. Une centaine de nations, communément appelées pays en voie de développement, sont passées à la loupe.
Le rapport élaboré prend en compte les indicateurs macroéconomiques, le comportement des opérateurs et les facteurs politiques, sociaux et juridiques.
Quant aux risques par pays, ils sont évalués en fonction de trois variables. La première concerne la croissance, le dynamisme et l’ouverture du marché.
La seconde porte sur les risques de marché tant macroéconomiques que financiers, tandis que la troisième se projette sur les risques sociaux, politiques, juridiques et géopolitiques. Il ressort de l’étude des données objectives et quantifiables d’où une évaluation rigoureuse. Une étude qui est prise en considération par les opérateurs de l’Hexagone et les analystes industriels et financiers.
Les notations allant de 44 à 70 représentent les pays à «faibles risques», de 26 à 44 pour les risques «plus ou moins élevés» et de 0 à 26 les risques «très élevés». Sur le risque à court terme, le Maroc a un classement similaire à celui de ses deux voisins.
Une note de 42 pour le Royaume, 41,2 pour l’Algérie et la Tunisie. La meilleure note revient au Singapour avec une note de 56. Les pays représentant un risque élevé en matière d’investissement sont l’Irak (15,6) et le Congo RDC (14,8).
La suite…
http://www.lexpressiondz.com/T20051215/ZA4-4.htm
Bonjour, l’Algerie a le meme classement pour les risques a court terme que le Maroc et la Tunisie, pour le long terme, le Maroc et la Tunisie sont classés en risque modéré avec des notes de 43 et 41,2, par contre, l’Algérie est classée en risque élevé avec une note de 32,8 et la je ne suis pas tout a fait d’accord avec le dernier numéro de Risques internationaux, car la tempete est deja passé 2 fois en Algerie et statistiquement une 3 revolutions est impossible dans ce pays, par contre en Tunisie et au Maroc...
Le dernier numéro de Risques internationaux, une revue française spécialisée aux «risques pays» vient de publier une nouvelle liste dans laquelle l’Algérie gagne plusieurs points et se place désormais comme un pays au bilan modéré et au faible risque d’insolvabilité.
La revue spécialisée, très prisée par les investisseurs privés, aussi bien français qu’européens, au même titre que la Coface, prend en ligne de compte les événements politiques, économiques et sociaux qui ont secoué le pays durant les derniers douze mois. Le risque est considéré également modéré tant sur le court terme que le long terme. Tel est le jugement porté sur l’Algérie pour l’exercice 2006, dans le dernier numéro de Risques internationaux, évaluant les «risques pays» pour l’Afrique, le Moyen-Orient, l’Asie, l’Europe de l’Est et l’Amérique latine. Une centaine de nations, communément appelées pays en voie de développement, sont passées à la loupe.
Le rapport élaboré prend en compte les indicateurs macroéconomiques, le comportement des opérateurs et les facteurs politiques, sociaux et juridiques.
Quant aux risques par pays, ils sont évalués en fonction de trois variables. La première concerne la croissance, le dynamisme et l’ouverture du marché.
La seconde porte sur les risques de marché tant macroéconomiques que financiers, tandis que la troisième se projette sur les risques sociaux, politiques, juridiques et géopolitiques. Il ressort de l’étude des données objectives et quantifiables d’où une évaluation rigoureuse. Une étude qui est prise en considération par les opérateurs de l’Hexagone et les analystes industriels et financiers.
Les notations allant de 44 à 70 représentent les pays à «faibles risques», de 26 à 44 pour les risques «plus ou moins élevés» et de 0 à 26 les risques «très élevés». Sur le risque à court terme, le Maroc a un classement similaire à celui de ses deux voisins.
Une note de 42 pour le Royaume, 41,2 pour l’Algérie et la Tunisie. La meilleure note revient au Singapour avec une note de 56. Les pays représentant un risque élevé en matière d’investissement sont l’Irak (15,6) et le Congo RDC (14,8).
La suite…
http://www.lexpressiondz.com/T20051215/ZA4-4.htm
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