Où est l’opposition?
Où sont ce foisonnement, cette fièvre et cet engouement à bien poser les problèmes des algériens, à leur ouvrir les yeux sur les basses besognes des fossoyeurs de leurs intérêts, de leur avenir et de celui de leurs enfants?
Déjà et juste à quelques mois des présidentielles, il y a eu irruptions de grandes théories sur la bonne gouvernance, émaillées de philosophies brandies par quelques figures, les unes portant les stigmates de récents acoquinements, les autres bardées de légalisme, les derniers arborant les cicatrices léguées par le système.
La suite nous a été racontée bien avant qu’elle ne se produise. L’on nous a mis en garde contre ce qui se produit en ce moment : l e même scénario qui se perpétue, avec le plébiscite en plus. Cela veut dit dire que nous avons alourdie notre charge, que nous avons légitimé, ayant voté ou non, à paver le chemin de notre damnation.
Ou se trouve le sérieux d’une opposition démocratique matérialisée par des partis comme le RCD, nonobstant les limites de ses moyens, quand après la débâcle, ses cadres prennent des vacances jusqu’aux prochaines échéances électorales. Échéances, certainement programmées et orientées de façon à ne jamais perturber le cours entendu des évènements.
Le travail de l’opposition au sens de l’entendement, se fait dans l’opposition, en dehors du pouvoir. Ce travail tend à mettre des gardes fous aux déviations du pouvoir, mettre à nu ses insuffisances, limiter ses nuisances et, tout au long du mandat, proposer un programme de rechange. Un programme dont les axes porteurs devraient être la correction des fautes commises et, surtout, les innovations basées sur des études éprouvées, en parfaite concordance avec les aspirations de cette masse de gens qu’on appelle le peuple.
:wink:
Où sont ce foisonnement, cette fièvre et cet engouement à bien poser les problèmes des algériens, à leur ouvrir les yeux sur les basses besognes des fossoyeurs de leurs intérêts, de leur avenir et de celui de leurs enfants?
Déjà et juste à quelques mois des présidentielles, il y a eu irruptions de grandes théories sur la bonne gouvernance, émaillées de philosophies brandies par quelques figures, les unes portant les stigmates de récents acoquinements, les autres bardées de légalisme, les derniers arborant les cicatrices léguées par le système.
La suite nous a été racontée bien avant qu’elle ne se produise. L’on nous a mis en garde contre ce qui se produit en ce moment : l e même scénario qui se perpétue, avec le plébiscite en plus. Cela veut dit dire que nous avons alourdie notre charge, que nous avons légitimé, ayant voté ou non, à paver le chemin de notre damnation.
Ou se trouve le sérieux d’une opposition démocratique matérialisée par des partis comme le RCD, nonobstant les limites de ses moyens, quand après la débâcle, ses cadres prennent des vacances jusqu’aux prochaines échéances électorales. Échéances, certainement programmées et orientées de façon à ne jamais perturber le cours entendu des évènements.
Le travail de l’opposition au sens de l’entendement, se fait dans l’opposition, en dehors du pouvoir. Ce travail tend à mettre des gardes fous aux déviations du pouvoir, mettre à nu ses insuffisances, limiter ses nuisances et, tout au long du mandat, proposer un programme de rechange. Un programme dont les axes porteurs devraient être la correction des fautes commises et, surtout, les innovations basées sur des études éprouvées, en parfaite concordance avec les aspirations de cette masse de gens qu’on appelle le peuple.
:wink:
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