Ils séjourneront en Algérie entre le 1er et le 18 juillet
L’Algérie accueillera entre le 1er et le 18 juillet prochain 2 000 enfants sahraouis qui passeront des séjours au sein de familles algériennes et dans des complexes.
L’initiative revient au Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS) qui a organisé hier une conférence de presse animée par le président de l’association, M. Khaled Mahrez, en marge de la visite du secrétaire général de l’Union de la jeunesse et des étudiants du Front Polisario, M. Moussa Salma. Ce dernier a annoncé une série d’activités dans le cadre de la solidarité et du soutien avec le peuple sahraoui, dont la première aura lieu le mois en cours entre le 25 et 30 mai. Il s’agit d’une visite d’une délégation de scouts sahraouis à l’occasion de la création des Scouts musulmans algériens (SMA).
L’Algérie, par le biais du CNASPS, organisera également, entre le 1er et le 18 juillet, une université d’été au profit du Front Polisario, composé essentiellement de ses étudiants et de ses jeunes.
Par ailleurs, le secrétaire général de l’Union de la jeunesse et des étudiants du Front Polisario, M. Moussa Salma, a affirmé, hier à Alger, que le peuple sahraoui milite pour une «cause juste», à savoir son autodétermination.
«En tant qu’organisation de jeunesse, nous respectons la légitimité internationale qui assure notre droit à l’autodétermination», a souligné M. Salma, membre du secrétariat national du Front Polisario, à l’issue d’une rencontre avec le Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS).
Il a indiqué que sa visite en Algérie entre dans le cadre de la campagne de sensibilisation qu’il a entamée, depuis décembre dernier, par le Mexique, l’Italie, l’Espagne, la France, l’Union européenne et le Parlement européen.
Par ailleurs, M. Salma a affirmé ne pas comprendre la position de la France, membre permanent du Conseil de sécurité, qui a refusé d’élargir les prérogatives de la Minurso à la surveillance des droits de l’homme dans les territoires occupés.
«Toutes les organisations non gouvernementales et internationales ont évoqué dans leurs rapports les violations des droits de l’homme au Sahara occidental. Par conséquent, le Front Polisario a demandé à ce que la Minurso prenne en charge ce volet», a-t-il dit.
Jeune Indépendant
L’Algérie accueillera entre le 1er et le 18 juillet prochain 2 000 enfants sahraouis qui passeront des séjours au sein de familles algériennes et dans des complexes.
L’initiative revient au Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS) qui a organisé hier une conférence de presse animée par le président de l’association, M. Khaled Mahrez, en marge de la visite du secrétaire général de l’Union de la jeunesse et des étudiants du Front Polisario, M. Moussa Salma. Ce dernier a annoncé une série d’activités dans le cadre de la solidarité et du soutien avec le peuple sahraoui, dont la première aura lieu le mois en cours entre le 25 et 30 mai. Il s’agit d’une visite d’une délégation de scouts sahraouis à l’occasion de la création des Scouts musulmans algériens (SMA).
L’Algérie, par le biais du CNASPS, organisera également, entre le 1er et le 18 juillet, une université d’été au profit du Front Polisario, composé essentiellement de ses étudiants et de ses jeunes.
Par ailleurs, le secrétaire général de l’Union de la jeunesse et des étudiants du Front Polisario, M. Moussa Salma, a affirmé, hier à Alger, que le peuple sahraoui milite pour une «cause juste», à savoir son autodétermination.
«En tant qu’organisation de jeunesse, nous respectons la légitimité internationale qui assure notre droit à l’autodétermination», a souligné M. Salma, membre du secrétariat national du Front Polisario, à l’issue d’une rencontre avec le Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS).
Il a indiqué que sa visite en Algérie entre dans le cadre de la campagne de sensibilisation qu’il a entamée, depuis décembre dernier, par le Mexique, l’Italie, l’Espagne, la France, l’Union européenne et le Parlement européen.
Par ailleurs, M. Salma a affirmé ne pas comprendre la position de la France, membre permanent du Conseil de sécurité, qui a refusé d’élargir les prérogatives de la Minurso à la surveillance des droits de l’homme dans les territoires occupés.
«Toutes les organisations non gouvernementales et internationales ont évoqué dans leurs rapports les violations des droits de l’homme au Sahara occidental. Par conséquent, le Front Polisario a demandé à ce que la Minurso prenne en charge ce volet», a-t-il dit.
Jeune Indépendant
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