Le ministre des Moudjahidine, M. Mohamed Chérif Abbas a affirmé samedi que les revendications de l'Etat algérien relatives à l'incrimination et à la reconnaissance des crimes de guerre français "sont toujours maintenues jusqu'à aboutissement".
En marge du 3e congrès national de l'Association nationale des anciens condamnés à mort (1954-1962), le ministre a indiqué que l'Algérie "revendique toujours depuis l'indépendance, l'incrimination de l'occupation française et la reconnaissance des crimes de guerre perpétrés contre le peuple algérien notamment les essais nucléaires, les mines anti-personnels, outre les pertes occasionnées à la nature et à l'homme", ajoutant que "ces revendications reste maintenues jusqu'à leur aboutissement".
Evoquant l'écriture de l'histoire de la période coloniale, M. Chérif Abbas a précisé que cette opération exige "des études complexes" pouvant durer plusieurs années, insistant sur la nécessité d'impliquer les historiens et les chercheurs dans l'écriture de l'histoire de la révolution et de la lutte du peuple algérien contre l'occupation française, pour la consacrer "mémoire vivante".
Concernant la loi sur le Chahid et le Moudjahid, le ministre a affirmé qu'elle est actuellement en cours d'application en dépit des difficultés rencontrées.
Cette loi a institué des primes supplémentaires aux enfants de chouhada dont la prime de décès de la veuve du chahid, octroyée à ses enfants sans emploi, ainsi que la prime accordée aux ascendants comptant dans la famille plus d'un chahid et aux enfants de parents (père et mère) morts en martyr.
Par APS
En marge du 3e congrès national de l'Association nationale des anciens condamnés à mort (1954-1962), le ministre a indiqué que l'Algérie "revendique toujours depuis l'indépendance, l'incrimination de l'occupation française et la reconnaissance des crimes de guerre perpétrés contre le peuple algérien notamment les essais nucléaires, les mines anti-personnels, outre les pertes occasionnées à la nature et à l'homme", ajoutant que "ces revendications reste maintenues jusqu'à leur aboutissement".
Evoquant l'écriture de l'histoire de la période coloniale, M. Chérif Abbas a précisé que cette opération exige "des études complexes" pouvant durer plusieurs années, insistant sur la nécessité d'impliquer les historiens et les chercheurs dans l'écriture de l'histoire de la révolution et de la lutte du peuple algérien contre l'occupation française, pour la consacrer "mémoire vivante".
Concernant la loi sur le Chahid et le Moudjahid, le ministre a affirmé qu'elle est actuellement en cours d'application en dépit des difficultés rencontrées.
Cette loi a institué des primes supplémentaires aux enfants de chouhada dont la prime de décès de la veuve du chahid, octroyée à ses enfants sans emploi, ainsi que la prime accordée aux ascendants comptant dans la famille plus d'un chahid et aux enfants de parents (père et mère) morts en martyr.
Par APS
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