«Il est temps aujourd'hui d'asseoir une véritable démocratie à travers la consécration de la souveraineté populaire». C'est par cette formulaire lapidaire que Louisa hanoune, qui animait avant-hier un meeting à Tlemcen à la maison de la culture Abdelkader Alloula, concluait son discours.
Un discours tout aussi lapidaire à l'encontre des institutions étrangères comme le FMI et la Banque mondiale qui ont été derrière le licenciement de près de 260.000 travailleurs. Confortée surtout ces dernières années par les révolutions sociales de l'Amérique latine qui ont porté au pouvoir un certain nombre de personnalités hostiles aux USA et à la mondialisation effrénée, comme c'est le cas de Hugo Chavez au Venezuela et autres, la candidate du PT à l'élection présidentielle a fustigé, devant des centaines de citoyens, le ministre des Participations et de la Promotion des investissements et tous ceux qui avaient pris le choix de la privatisation des entreprises et la libération sauvage dans le pays.
Elle affirmera que «son programme» va permettre d'opérer des réformes dans plusieurs secteurs de la vie du citoyen et de l'Etat, à savoir la justice, l'enseignement supérieur, la culture, l'environnement, le social, le sport, le développement humain et tout ce qui touche de loin ou de près le citoyen. Sur un autre registre, Louisa Hanoune s'est longuement attardée sur l'itinéraire historique de Messali Hadj. «Il est temps de réhabiliter tous les hommes qui se sont sacrifiés pour notre indépendance. Messali Hadj est le fondateur du nationalisme algérien et le leader des partis qu'il a créés et dirigés : l'Etoile Nord-Africaine, le Parti du peuple algérien, le Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques et le Mouvement national algérien. Mais notre génération ignore tout du parcours de ce fondateur des premières véritables organisations indépendantistes.
Elle a ensuite dévoilé les principaux axes de son programme, avant d'appeler les Algériens à se mobiliser et venir en masse le jour J pour voter «la rupture» et bannir à tout jamais les pratiques de la politique du parti unique, «qui a induit notre pays dans la situation de crise que nous vivons amèrement aujourd'hui».
A noter qu'à la fin de ce meeting tenu à Tlemcen, la secrétaire générale du Parti des travailleurs s'est rendue dans la wilaya d'Oran pour un meeting similaire.
Le Quotidien d'Oran
Un discours tout aussi lapidaire à l'encontre des institutions étrangères comme le FMI et la Banque mondiale qui ont été derrière le licenciement de près de 260.000 travailleurs. Confortée surtout ces dernières années par les révolutions sociales de l'Amérique latine qui ont porté au pouvoir un certain nombre de personnalités hostiles aux USA et à la mondialisation effrénée, comme c'est le cas de Hugo Chavez au Venezuela et autres, la candidate du PT à l'élection présidentielle a fustigé, devant des centaines de citoyens, le ministre des Participations et de la Promotion des investissements et tous ceux qui avaient pris le choix de la privatisation des entreprises et la libération sauvage dans le pays.
Elle affirmera que «son programme» va permettre d'opérer des réformes dans plusieurs secteurs de la vie du citoyen et de l'Etat, à savoir la justice, l'enseignement supérieur, la culture, l'environnement, le social, le sport, le développement humain et tout ce qui touche de loin ou de près le citoyen. Sur un autre registre, Louisa Hanoune s'est longuement attardée sur l'itinéraire historique de Messali Hadj. «Il est temps de réhabiliter tous les hommes qui se sont sacrifiés pour notre indépendance. Messali Hadj est le fondateur du nationalisme algérien et le leader des partis qu'il a créés et dirigés : l'Etoile Nord-Africaine, le Parti du peuple algérien, le Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques et le Mouvement national algérien. Mais notre génération ignore tout du parcours de ce fondateur des premières véritables organisations indépendantistes.
Elle a ensuite dévoilé les principaux axes de son programme, avant d'appeler les Algériens à se mobiliser et venir en masse le jour J pour voter «la rupture» et bannir à tout jamais les pratiques de la politique du parti unique, «qui a induit notre pays dans la situation de crise que nous vivons amèrement aujourd'hui».
A noter qu'à la fin de ce meeting tenu à Tlemcen, la secrétaire générale du Parti des travailleurs s'est rendue dans la wilaya d'Oran pour un meeting similaire.
Le Quotidien d'Oran
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