Selon une experte de la communication institutionnelle
«80% des problèmes de l’Algérie seront résolus avec le CNC»
Aujourd’hui, il existe une fracture entre le citoyen et l’Etat due essentiellement à l’absence d’une véritable communication (sécuritaire, politique et économique), a indiqué hier Mme Alloul, experte en communication institutionnelle, lors d’une conférence-débat portant sur le thème «pour un plan national de communication».
A cette occasion Mme Alloul a révélé que «plus de 80% des problèmes de l’Algérie seront résolus avec la création d’un nouveau Conseil national de communication qui viendra booster la communication entre l’Etat et le citoyen».
L’intervenante a rappelé dans ce sens l’importance de la communication dans le développement de la société civile, à travers la maîtrise de cet outil «sensible» par les institutions nationales vis-à-vis des citoyens. Ainsi, l’existence d’une meilleure communication directe entre les institutions nationales et les citoyens peut non seulement contribuer à un meilleur développement de l’économie de la nation mais également sauver des vies humaines contre certains risques dus à l’absence de cette question.
«Chez nous, malheureusement, il n’existe toujours pas une communication directe entre les institutions de l’Etat et le citoyen. Bien au contraire, une grande fracture est constatée entre la société et celui qui la gouverne via le traitement de l’information et de la communication.
Cette situation a ouvert grand les portes à la spéculation et aux rumeurs qui continuent d’alimenter les rues et le quotidien des Algériens», explique Mme Alloul.
Cette experte propose en contrepartie des solutions qui, à son avis, sont d’une extrême importance voire de véritables données auxquelles il ne faut pas aujourd’hui tourner le dos ou sous-estimer.
«Il faut mettre un terme à l’absence de communication entre le citoyen et les institutions nationales, par exemple les APC et les daïras. Cette situation, qui persiste toujours, ne devrait plus exister. Parmi les solutions que je propose ou que j’estime être des outils nécessaires, il y a la création d’un conseil national de la communication capable de réaliser cet objectif. Ce conseil regrouperait des experts, des écrivains et des cadres.
Ces derniers pourront participer au rétablissement de la communication entre les institutions nationales et le citoyen», souligne l’intervenante. «A mon avis, sans ce conseil, dira Mme Alloul, la communication entre l’Etat et le citoyen restera incertaine». Avant de conclure, cette dernière a déclaré qu’aujourd’hui il faut une vingtaine d’années de travail pour arriver à concrétiser l’information pure et réelle.
LE JOUR D'ALGERIE
«80% des problèmes de l’Algérie seront résolus avec le CNC»
Aujourd’hui, il existe une fracture entre le citoyen et l’Etat due essentiellement à l’absence d’une véritable communication (sécuritaire, politique et économique), a indiqué hier Mme Alloul, experte en communication institutionnelle, lors d’une conférence-débat portant sur le thème «pour un plan national de communication».
A cette occasion Mme Alloul a révélé que «plus de 80% des problèmes de l’Algérie seront résolus avec la création d’un nouveau Conseil national de communication qui viendra booster la communication entre l’Etat et le citoyen».
L’intervenante a rappelé dans ce sens l’importance de la communication dans le développement de la société civile, à travers la maîtrise de cet outil «sensible» par les institutions nationales vis-à-vis des citoyens. Ainsi, l’existence d’une meilleure communication directe entre les institutions nationales et les citoyens peut non seulement contribuer à un meilleur développement de l’économie de la nation mais également sauver des vies humaines contre certains risques dus à l’absence de cette question.
«Chez nous, malheureusement, il n’existe toujours pas une communication directe entre les institutions de l’Etat et le citoyen. Bien au contraire, une grande fracture est constatée entre la société et celui qui la gouverne via le traitement de l’information et de la communication.
Cette situation a ouvert grand les portes à la spéculation et aux rumeurs qui continuent d’alimenter les rues et le quotidien des Algériens», explique Mme Alloul.
Cette experte propose en contrepartie des solutions qui, à son avis, sont d’une extrême importance voire de véritables données auxquelles il ne faut pas aujourd’hui tourner le dos ou sous-estimer.
«Il faut mettre un terme à l’absence de communication entre le citoyen et les institutions nationales, par exemple les APC et les daïras. Cette situation, qui persiste toujours, ne devrait plus exister. Parmi les solutions que je propose ou que j’estime être des outils nécessaires, il y a la création d’un conseil national de la communication capable de réaliser cet objectif. Ce conseil regrouperait des experts, des écrivains et des cadres.
Ces derniers pourront participer au rétablissement de la communication entre les institutions nationales et le citoyen», souligne l’intervenante. «A mon avis, sans ce conseil, dira Mme Alloul, la communication entre l’Etat et le citoyen restera incertaine». Avant de conclure, cette dernière a déclaré qu’aujourd’hui il faut une vingtaine d’années de travail pour arriver à concrétiser l’information pure et réelle.
LE JOUR D'ALGERIE
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