Les patrons français optimistes sur l’Algérie

Ces derniers ont rejeté les prétextes de certains investisseurs étrangers concernant les conditions politiques en Algérie, et la non clarté de la vision économique qui pourrait empêchait l’entrée au marché Algérien considérant qu’elle sont des paroles en l’air, dont le but est d’obtenir des avantages plus importants lors de la conclusion de contrats pour faire croire à la difficulté des conditions en Algérie et à l’inexistence d’une stabilité politique.

Ces chiffres ont été constamment affirmés par les responsables des plus grandes entreprises de France qui sont intéressées par le marché Algérien, lorsque nous les avons rencontré à Paris, le Directeur exécutif de France Télécom au niveau de la Direction internationale, Jean Paul Jotti, a indiqué qu’il était confiant pour ce qui est du future des relations économiques entre son entreprise et l’Algérie « nous ne voyons pas des risques concernant l’investissement en Algérie, nous élargissons le domaine de coopération avec les compagnies Algériennes », soulignant le succès de France Télécom à travers sa branche en Algérie « Sofricom ».

Le même responsable a fait part de l’intention de son entreprise de participer au capital d’Algérie Télécom, il a souligné leur connaissance de cette compagnie et de ses possibilités à travers les services présentés à France Télécom et sa supervision de projets d’Algérie Télécom.
Pour sa part, Jill Sauche, Vice Président de la branche Afrique du Nord de la compagnie « Alcatel », a affirmé que l’intérêt porté au marché Algérien remontait à plusieurs années, il s’est plaint de l’hégémonie du marché Chinois sur plusieurs projets en Algérie.

Il a estimé que ses relations avec Algérie Télécom sont plus en rapport avec l’accompagnement d’Algérie Télécom tout au long des étapes commerciales qu’elle passe « nous pensons sérieusement à se positionner de manière plus grande dans le marché Algérien grâce à l’obtention d’une plus grande part dans le réseau Internet à haut débit. Le directeur Général de la compagnie française « La Marseillaise des Eaux », Jaques Stevens, est du même avis, en estimant que le prétexte d’un faible climat des affaires en Algérie n’est plus assez fort vu toutes les opportunités du marché Algérien, ajoutant que la compagnie a supervisé la réalisation de travaux d’entretien du réseau des eaux de la capitale.

Synthèse de Mourad, algerie-dz.com
D’après El Khabar