Investir en Algérie dans les technologies de l’information

Selon KPMG Algérie, l’économie algérienne évolue au rythme des réformes menées depuis 1994 sous l’égide du FMI. Son évolution est positive concernant les résultats du commerce et des équilibres macroéconomiques. Elle reste, toutefois, fortement dépendante de la fluctuation des prix du pétrole tant au niveau économique, à savoir 97% des recettes d’exportation que budgétaire, puisque 60% des entrées de l’État proviennent de la fiscalité pétrolière.

Même si l’économie nationale a dégagé des excédents budgétaires importants ces dernières années, reconnaissent les experts de KPMG Algérie, il n’en demeure pas moins qu’elle reste marquée par un niveau relativement faible des taux de croissance et la persistance d’un taux de chômage assez préoccupant qui a atteint 20% environ de la population active, dont 80% des jeunes ; 200 000 arrivent annuellement sur le marché de l’emploi.

Pour faire face à ce fléau, les consultants de ce cabinet estiment qu’il est nécessaire d’atteindre un taux de croissance de plus de 7%/an. Or, ce taux est actuellement inférieur à 6%. Ce guide, édité depuis 2004, réunit, faut-il le préciser, l’ensemble des connaissances actuelles sur les modalités d’investissement applicables sur le marché algérien. En cela, le document constitue l’outil indispensable à la communauté des affaires algérienne et étrangère dans la conduite de leurs projets d’investissements.

Synthèse de Rayane, algerie-dz.com
D’après Liberté