Attention ça risque d'être mortel ....
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The Dark Knight Rises Bande annonce 4
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Boycott du film !
Ce film est une ignoble propagande essentiellement anti-musulmane et accessoirement anti Occupy Wall Street(présentée comme une vitrine du terrorisme).
Quelle est la morale du film ?! Un type qui remet en question la puissance de l'Empire, son mode de fonctionnement est un nihiliste qui déguise ses pulsions de destruction par des idées : pas la peine de vous intéresser à la colère du Palestinien, attention à ne pas interroger la colère de l'Irakien ...leurs complaintes ne sont que rhétoriques, il faut simplement les écraser.
Vous pensez que ma lecture du film est paranoïaque ? Je vous invite à lire les articles suivants et à vous renseigner sur les opinions politiques de Franck Miller : néo-conservateur, anti-musulman(e)s auxquels il a même consacré une BD qui a été refusé par la maison d'édition qui fait paraître Batman et qu'il a fait éditer ailleurs en changeant le personnage central: Holy Terror.
Si j'invite les gens à boycotter ce film, c'est parce que le fait d'aller voir ce film encourage les majors à lui confier d'autres projets :
Envoyé par Article Wired"The film adaptations of Sin City and 300 were so successful that Hollywood actually let him direct The Spirit. "Dernière modification par Dandy, 27 juillet 2012, 22h38.
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Article paru dans Le Monde
Frank Miller, Batman et le choc des civilisations
Le Monde
Pour les amateurs de comics, le dessinateur et scénariste Frank Miller est un héros. Il a déringardisé Daredevil, l'avocat-justicier aveugle de Marvel, a inventé la série Sin City, qu'il a portée à l'écran, et fait entrer Batman dans le XXIe siècle.
C'est sous son crayon, dans la série The Dark Knight Returns (1986), que Bruce Wayne troque ses gants mauves, sa panoplie de bat-gadgets et les "whizz bam" contre l'uniforme sombre du justicier gothique, ambigu et violent. Le genre est renouvelé : les super-héros vont les uns après les autres quitter leurs collants kitsch pour entrer dans la catégorie BD pour adultes.
Artisan vénéré de la renaissance des comics, Frank Miller est pourtant un personnage contesté, que ses plus fidèles lecteurs ont parfois du mal à suivre. Provocateur, passionné d'armes à feu, néoconservateur assumé, partisan de la théorie du choc des civilisations, ses prises de position déclenchent des poussées d'urticaire chroniques dans la presse progressiste et déconcertent jusqu'à ses plus grands fans.
"CES GENS-LÀ COUPENT DES TÊTES"
En 2006, il avait accordé une interview à la National Public Radio (lire la transcription en anglais), dans laquelle il justifiait l'intervention militaire en Irak au nom de la guerre contre le fascisme :
"J'entends souvent les gens se demander pourquoi nous avons attaqué l'Irak, par exemple. Eh bien, nous nous en prenons à une idéologie. Personne ne demande pourquoi, après Pearl Harbor, nous avons attaqué l'Allemagne nazie. C'était parce que nous étions confrontés à une forme de fascisme global, et nous faisons la même chose aujourd'hui [...] Ces gens-là coupent des têtes. Ils traitent leurs femmes en esclaves, infligent des mutilations sexuelles à leurs filles : ils ne se comportent en aucune façon selon les normes culturelles auxquelles nous sommes sensibles. Je suis en train de parler dans un micro qui n'aurait jamais pu être produit par leur culture, et je vis dans une ville où 3 000 de mes voisins ont été tués par des voleurs d'avions qu'ils n'auraient jamais pu construire eux-mêmes."
Frank Miller n'a pas sa langue, ni son stylo, dans sa poche. L'an dernier, ce génie du crayon s'est également fendu sur son site Internet d'un texte assassin, intitulé "Anarchie", dans lequel il démonte en règle le mouvement Occupy Wall Street :
"Occupy n'est rien qu'un ramassis de malotrus, de voleurs et de violeurs, une masse indisciplinée nourrie à la nostalgie de Woodstock et empreinte d'une fausse vertu putride. Ces clowns ne font rien d'autre qu'affaiblir l'Amérique", face à la menace d'Al-Qaida et de l'islamisme. "Cet ennemi – qui n'est pas le vôtre, apparemment – doit ricaner, si ce n'est pas éclater de rire, en regardant votre spectacle vain, infantile et suicidaire". Il invite les Indignés américains à rentrer chez maman jouer à "Lord of Warcraft" ou à s'engager dans l'armée : "Mais ils risquent de ne pas vous laisser garder vos iPhones, les enfants."
Dans l'univers des comics, d'inspiration majoritairement humaniste et libertaire, cette diatribe est mal passée. Vivement critiqué dans la presse progressiste, Frank Miller a même été lâché par une partie de son lectorat, qui a appelé à boycotter ses œuvres. Certains grands noms du monde des comics, comme Mark Millar, ont publiquement dénoncé ses propos. L'auteur de plusieurs épisodes de X-Men, Kick-Ass ou Nemesis a néanmoins volé au secours de son collègue en appelant "à ne pas le boycotter, pas plus que HP Lovecraft, Steve Ditko, David Mamet ou n'importe quel autre écrivain qui ne partagerait pas ma philosophie personnelle, mais dont je suis heureux d'avoir les œuvres sur mes étagères".
Alan Moore, l'auteur de V pour Vendetta et de Watchmen, s'est montré moins compréhensif : "Je suis sûr que si Occupy Wall Street était un groupe de jeunes justiciers sociopathes le visage grimé en Batman, il y aurait été plus favorable", a-t-il déclaré, avant de s'en prendre à l'idéologie présente dans l'œuvre de Frank Miller. "J'ai trouvé que Sin City était d'une irréductible misogynie, que 300 était largement anhistorique, homophobe et parfaitement erroné. Je pense qu'il y a une sensibilité très déplaisante qui se dégage de l'œuvre de Frank Miller depuis assez longtemps."
Les positions réactionnaires de Frank Miller nourrissent-elles son œuvre ? Gotham City, New York décadente rongée par la corruption aux prises avec un terroriste nihiliste, est-elle l'incarnation de l'Amérique d'aujourd'hui face à la menace islamiste ? Dans son entretien à la National Public Radio, Miller déplorait l'affaissement moral et l'absence de vigueur de l'Amérique face à un ennemi à ses yeux bien réel :
"Il me semble évident que notre pays et l'ensemble du monde occidental affronte un ennemi existentiel qui sait parfaitement ce qu'il veut... et nous nous comportons comme un empire qui s'effondre. Les cultures puissantes sont rarement conquises, elles s'effritent de l'intérieur."
Pour autant, explique Philippe Touboul, copropriétaire de la célèbre boutique de comics Arkham à Paris, si la série Batman : The Dark Knight Returns exprime une vision bien américaine de la société et de la justice, il ne faut pas y chercher la trace du tournant réactionnaire de Miller. "Il faut distinguer deux périodes chez Miller : celle de l'auteur de comics, humaniste, épris de liberté, qui a des choses à dire (Daredevil, Batman, etc.), et le Miller réactionnaire, misogyne et homophobe, qui a mal vieilli à partir des tomes 2 ou 3 de Sin City. On a l'impression que le 11-Septembre l'a définitivement fait basculer", explique-t-il.
L'"apogée" réactionnaire de son œuvre a sans aucun doute été atteinte avec Holy Terror. A l'origine, cette bande-dessinée, entamée au lendemain des attaques contre le World Trade Center, devait relater la bataille entre Batman et un terroriste islamiste après un attentat contre Gotham City. Miller la présentait lui-même comme une "œuvre de propagande" dans laquelle Batman "bottait le cul d'Al-Qaida", tout comme Superman avait combattu avant lui Hitler. DC Comics ayant refusé de la publier, Miller a finalement renoncé au personnage de Batman et s'est résolu à produire son album chez un autre éditeur. La BD, dédiée à Théo Van Gogh, le réalisateur d'extrême-droite néerlandais assassiné par un musulman en 2004, a été jugée "islamophobe" par de nombreux critiques.Dernière modification par Dandy, 27 juillet 2012, 22h39.
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Suite de l'article paru dans le Monde.
PROPAGANDE : LE RETOUR DU REFOULÉ
Cette obsession du choc des civilisations est également présente dans la série 300, dont la quatrième de couverture propose ce résumé : "L'armée persane – si puissante que la terre tremble sous ses pieds – s'apprête à écraser la Grèce, île de raison et de liberté, dans une mer d'obscurantisme et de tyrannie. Entre la Grèce et cette vague destructrice, il y a un petit détachement d'à peine trois cents guerriers. Mais ces guerriers sont plus que des hommes... Ce sont des Spartiates."
L'adaptation au cinéma de cette série de comics en 2006 par Zack Znyder a suscité une vague d'indignation à Téhéran, les Iraniens se sentant insultés par l'image donnée de leurs ancêtres perses, "dépeints en meurtriers sauvages, sans âme et sans retenue", comme le raconte cet article du Figaro.
Une partie de la presse occidentale a elle aussi dénoncé un spectacle "belliqueux, raciste et inspiré d'une idéologie nauséabonde". "Pour une partie du public américain, ce film représente une revanche sur le 11-Septembre, une manière d'affirmer la supériorité des Etats-Unis sur les hordes islamiques qui menacent la civilisation", affirme le blog Nouvelles d'Orient du Monde Diplomatique.
Frank Miller se réclame fréquemment de la tradition propagandiste des comics, flagrante pendant la seconde guerre mondiale, pour justifier des choix narratifs de plus en plus binaires. Une régression idéologique et artistique difficile à comprendre concernant celui qui reste l'un des plus grands novateurs du genre. Un retour à la caricature surprenant pour cet auteur qui n'a eu de cesse d'explorer l'ambiguïté de l'âme humaine, la frontière chancelante entre le bien et le mal et la part d'ombre des justiciers solitaires.Dernière modification par Dandy, 27 juillet 2012, 22h40.
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Autre article à propos d'une autre de ses oeuvres qui est d'une abjection sans borne.
Frank Miller’s Holy Terror Is Fodder for Anti-Islam Set
By Spencer Ackerman - Wired
rank Miller's graphic novel Holy Terror hits stores Wednesday.
Frank Miller doesn’t do things halfway. One of the true comic-book greats, he’s created several of the most extraordinary stories ever to grace the art form. So perhaps it’s fitting that now he’s produced one of the most appalling, offensive and vindictive comics of all time.
Holy Terror, Miller’s long, long, long-awaited statement on 9/11 and counterterrorism, hit comic book stores Wednesday. Longtime Miller watchers have viewed it with apprehension, hoping that his dark views about the source of that national trauma wouldn’t turn the comic into a vulgar, one-dimensional revenge fantasy. They were wrong. It’s even worse than that.
Miller’s Holy Terror is a screed against Islam, completely uninterested in any nuance or empathy toward 1.2 billion people he conflates with a few murderous conspiracy theorists. It’s no accident that it’s being released ten years after 9/11. This comic would be unthinkable during the unity that the U.S. felt after the attack.
Instead, it’s a perfect cultural artifact of this dark period in American life, when the FBI teaches its agents that “mainstream” Islam is indistinguishable from terrorism and a community center near Ground Zero gets labeled a “victory mosque.” Call it the artwork of 9/11 decadence, when all that remains of a horror is a carefully nurtured grievance.
Holy Terror, the inaugural offering from Legendary Comics, starts out with the Fixer, an ersatz Batman, enjoying a tryst with an ersatz Catwoman when they’re interrupted by a nail bomb. The culprit: a “humanities major” named Amina, an Islamist version of the psychopathic Rorschach from Watchmen, who sneers that the “haughty” skyline of Empire City is like “sharpened sticks aimed at the eyes of God.”
The Fixer’s response is to go to war — indiscriminately. “We give them what they want, minus the innocent victims,” the Fixer thinks as he opens fire. To bring the point home Miller draws 14 stereotypical Muslim faces around the righteous anti-hero. Naturally, the only way to learn more about the next attack is to torture a surviving terrorist — which Miller illustrates pornographically — even though the Scary Muslim says “pain means nothing to me,” so it’s not like the Fixer is torturing, you know, a human being.
“So Mohammed,” the Fixer says, “Pardon me for guessing your name, but you’ve got to admit the odds are pretty good that it’s Mohammed.” Naturally, the terrorists are amassing an army in a mosque, against whose walls “the night winds blow away seven centuries.” That’s the tenor of the book, though I won’t spoil the ending.
The tragedy is that Miller is no hack. Throughout his 35-year career, he’s been one of comics’ few undisputed geniuses. Check the resume: from Daredevil to Ronin to Sin City, Miller excels at exploring the dark side of humanity without reducing his characters to simplistic killing machines. His Dark Knight Returns was one of the game-changing comics of the 1980s, the greatest Batman story ever told, a book that rivals Watchmen in its ability to prove that comics are literature. As an artist, Miller’s forte is in stark black-and-white color schemes, yet he creates worlds where the morality is a subtle gray.
He is also at the height of his cultural influence. The film adaptations of Sin City and 300 were so successful that Hollywood actually let him direct The Spirit. Christopher Nolan’s rebooted Batman trilogy would be unthinkable if Miller had never created The Dark Knight Returns. Word is that the upcoming Daredevil movie reboot will be based on Miller’s “Born Again” storyline.
That means it’s a mistake to write off Holy Terror as unimportant or a stumble in an otherwise great career. It’s a cultural flag, planted to serve as a “reminder that we’re in the midst of a long war,” Miller told Comic-Con International this year, against an enemy that’s “pernicious, deceptive and merciless and wants nothing less than total destruction.”
That quote, and Holy Terror itself, ignores practically everything about the actual strategic situation the United States is in. The jihadists of Holy Terror are legion, killing American civilians at will. In reality, al-Qaida is decimated, relentlessly battered by drone strikes, its iconic leader killed by U.S. Navy SEALs, and unable to pull off even relatively unsophisticated plots like packing bombs into printer cartridges and detonating them on cargo planes. Terrorists lack the capacity to do lasting damage to the U.S., and so they rely on American overreaction to do the job for them. Readers of Holy Terror will never know any of that — nor will they know that al-Qaida’s victims are mostly Muslims themselves. If Miller was really interested in delivering a propaganda blow to al-Qaida, he would have made a comic book laughing at its incompetence.Dernière modification par Dandy, 27 juillet 2012, 22h40.
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Suite de l'article.
So it’s hard to escape the conclusion that Miller is emotionally unprepared for actually defeating al-Qaida. He’s bought into the myth of a “Long War” for so long that the only measurement he has for victory is that the U.S. keeps aimlessly fighting. Once the Fixer has his mission, he observes, “I am at peace. And at war.”
Oh, and Miller has one other metric for success: “really piss[ing] people off,” as he told Comic-Con. By that he means his fellow Americans, who are at risk of believing that Islam isn’t out to kill their grandmothers. Americans are “naïve,” one of the plotters in Holy Terror cackles.
Miller is hardly the only one to think so. His comic is the latest in a recent line of bigoted statements against Islam masquerading as a truth that liberals are too craven to accept. The same dreck is on display with the group that led the summer 2010 fight against the so-called “Ground Zero Mosque”: Stop Islamization of America, which the Anti-Defamation League has labeled a “conspiratorial” extremist group. One of its ringleaders, the ******* Pamela Geller, is now threatening to sue New York’s Metropolitan Transit Authority for rejecting one of her ads, which calls opponents of Israel “savages.” For Geller’s self-righteous ilk, rejection by the mainstream is proof of their self-evident virtue, a reminder that the rest of the country just can’t handle the reality of the “Muslim threat.”Dernière modification par Dandy, 27 juillet 2012, 22h40.
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Je l'i vu hier au cinoche , du Nolan pur jus,
Que ce soit les décors , le jeux des acteurs , le scénario , , les mouvements de la camera , la musique ou les effets spéciaux , tout se goupillé bien dans ce film .....
Seule déception , ou plutôt micro déception : le méchant BANE , interprète par Tom Hardy , dont la performance est loin d'égaler celle du joker Heath Ledger ( difficile de faire mieux) , et dont le personnage , coiffé d'un masque qui lui couvre la moitié du visage , fait qu'on ne voit quasi pas d'expression sur son visage , c'est peut etree ce que voulait Nolan en même temps .
La bonne surprise du film : la performance de Marion cotillard , et la fin que je ne vais pas vous révéler bien entendu ....
Perso , je donne un 8,5/10 ( 9,5/10 pour thé dark knight , et 9/10 pour Batman bégins ) ......." Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm
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Film merdique, une vraie perte de temps ! 3h à végéter devant une propagande nauséabonde faite d'une succession de scènes et de personnages sans aucune crédibilité, Morgan Freeman signe l'une des ses pires performance au cinéma. Un scénario qui fait pitié, des dialogues nuls et sans pertinence (ou alors c'est le doublage, mais la VO ne doit pas être meilleur).Un jour, liberté naîtra, volonté existera, conscience on aura, et enfin, la paix sera...
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Ce film est une ignoble propagande essentiellement anti-musulmane et accessoirement anti Occupy Wall Street(présentée comme une vitrine du terrorisme).
Quelle est la morale du film ?! Un type qui remet en question la puissance de l'Empire, son mode de fonctionnement est un nihiliste qui déguise ses pulsions de destruction par des idées : pas la peine de vous intéresser à la colère du Palestinien, attention à ne pas interroger la colère de l'Irakien ...leurs complaintes ne sont que rhétoriques, il faut simplement les écraser.
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on sort du ciné ....
j'avais dit à Monsieur Zouille " tu vas voir , le scénario il va se passer ceci et cela, il y aura ça comme suspense, il va se passer ça ça et ça ... "
et bien ça n'a pas manquer !
aucun suspense , long ... mais long .....
ET .... UN SUPER HEROS de comic SANS SLIP MOULANT bouhhhhhhhh c'est même pas drôle ...
PAR CONTRE LA BATMOTO, elle en jette
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DANDY tu peux avoir ce genre d'interprétation pour bon nombre de films chacun perçoit les choses selon sa sensibilité , son background et son orientation politique ;Penser qu'il y a derrière ce film une volonté sous jaccente
du réalisateur de produire une oeuvre de propagande c largement exagéré ....à mon avis
je n'ai pas vu le film mais la bande annonce et les critiques me poussent à y aller, surtout que c le dernier avec l'acteur principal
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Envoyé par DandyCe film est une ignoble propagande essentiellement anti-musulmane et accessoirement anti Occupy Wall Street(présentée comme une vitrine du terrorisme).
J'ai vu le film et je n'y ai pas vu de propagande anti-musulmane. Aussi, contrairement au film "300", le déchet Frank Miller n'a pas contribué au film "The Dark Knight Rises". Ce dernier est le produit des Nolan (Christopher et son frère Jonathan).
Concernant le film lui même, je l'ai trouvé divertissant mais moins bon que le précédent, The Dark Knight. Ce dernier est clairement le film phare de la trilogie grâce notamment à l'excellente prestation de "The Joker".
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Ce film est une ignoble propagande essentiellement anti-musulmane et accessoirement anti Occupy Wall Street(présentée comme une vitrine du terrorisme).
Pourquoi anti musulman d'ailleurs?
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